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Emprisonné depuis le 7 avril, l'ex-président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a perdu du terrain mais reste en tête des intentions de vote pour l'élection présidentielle d'octobre, selon un sondage publié dimanche.
Le candidat, fondateur du parti des travailleurs, cumule 31% des intentions de vote, suivi du député d'extrême droite Jair Bolsonaro, qui en obtient 15%. Marina Silva, ex-ministre de l'Environnement du gouvernement, Lula arrive en troisième position avec 10% des intentions de vote.
Cette enquête Datafolha, réalisée entre le 11 et le 13 avril dans 227 communes avec une marge d'erreur de deux points de pourcentage, montre un recul de l'ex-chef d'Etat (2003-2010) qui avait obtenu 37% des intentions de vote lors du précédent sondage de cet institut en janvier, contre 16% pour Bolsonaro.
La situation profite à Marina Silva, qui enregistrerait 15% des voix en cas d'absence de Lula aux électioins, talonnant Bolsonaro (17%).
L'actuel président Michel Temer, qui pourrait se présenter, recueille 2% des intentions de vote.
Attaque
Des tirs de roquettes, des assaillants déguisés en Casques bleus montés à bord de véhicules piégés, des échanges de coups de feu: les camps de la Minusma et de la force Barkhane à Tombouctou ont été la cible samedi d'une attaque "sans précédent" qui a fait au moins un mort et une vingtaine de blessés.
L'assaut s'est produit peu après 14H00 (GMT et locales) sur le site aéroportuaire de cette ville légendaire du nord du Mali où sont cantonnés des Casques bleus de la Minusma et des hommes de l'opération française Barkhane.
Alors que les deux camps essuyaient une "dizaine de tirs de roquettes", des hommes portant des Casques bleus ont tenté de "s'infiltrer" dans la zone militaire à bord de deux véhicules piégés, a précisé dans un communiqué le ministère malien de la Sécurité.