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Des militants indépendantistes bloquaient mardi matin deux routes en Catalogne, protestant contre l'arrestation dimanche en Allemagne de l'ex-président régional Carles Puigdemont et l'incarcération d'autres leaders indépendantistes en Espagne.
Selon les services régionaux de trafic routier, les blocages se poursuivaient vers 07H40 GMT sur l'autoroute A7 près de la frontière française, ainsi que sur la nationale N340 qui relie la Catalogne à la côte sud-est de l'Espagne.
Les deux principaux accès à Barcelone, par le nord et le sud, ont également été brièvement coupés. Les manifestations ont été organisées par les "Comités de défense de la République" (CDR), des groupes radicaux, qui ont annoncé lundi le lancement d'un cycle de protestations "permanentes".
Lundi matin, des CDR avaient bloqué pendant quelques heures une autoroute près de Lleida, dans l'ouest de la Catalogne.
Yémen
Près d'un demi-million d'enfants ont abandonné l'école depuis l'escalade du conflit au Yémen en mars 2015, ce qui porte à deux millions le nombre total d'enfants non scolarisés, selon une étude de l'Unicef publiée mardi. Près des trois quarts des enseignants dans les écoles publiques n'ont pas reçu leur salaire depuis plus d'un an, ce qui met gravement en danger l'éducation de 4,5 millions d'enfants supplémentaires, a ajouté le Fonds des Nations unies pour l'enfance.
"Une génération entière d'enfants au Yémen est confrontée à un avenir sombre en raison de l'accès limité ou inexistant à l'éducation", a déclaré Meritxell Relano, représentante de l'Unicef au Yémen.
Selon l'étude "If Not In School", plus de 2.500 écoles sont hors d'usage, dont les deux tiers ont été endommagées par des attaques, 27% sont fermées et 7% sont utilisées à des fins militaires ou comme abris pour des personnes déplacées, sans parler des risques encourus par les enfants sur le trajet de l'école en raison des combats.