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Deux projets d'attentats visant un équipement sportif et les militaires de l'opération Sentinelle ont été déjoués en janvier en France, a annoncé dimanche le ministre de l'Intérieur.
"Depuis le 1er janvier, nous avons déjoué deux projets d'attentats", l'un contre un "grand équipement sportif", l'autre contre des personnels de l'armée, a dit Gérard Collomb lors de l'émission Le Grand Rendez-vous Europe 1-CNews-Les Echos.
L'un l'a été dans le sud de la France, l'autre dans l'ouest, a ajouté le ministre sans plus de précision.
Gérard Collomb a indiqué que les auteurs des préparatifs de ces attentats, qui ont été arrêtés, étaient inscrits au Fichier des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT).
Interrogé sur la nature de l'opération préparée contre les militaires, il a répondu qu'il s'agissait d'une attaque comme il y en a déjà eu contre le personnel de l'opération Sentinelle.
Irak
Human Rights Watch (HRW) a qualifié de "punition collective" le refus des services de sécurité irakiens d'accorder aux familles de membres présumés du groupe Etat islamique (EI) un certificat permettant d'obtenir des papiers d'identité.
Cette attitude des autorités, estime une déclaration de l'organisation de défense des droits de l'Homme, empêche ces personnes d'avoir accès aux services élémentaires. "Les agents de sécurité irakiens refusent de manière systématique d'accorder aux parents de personnes soupçonnées d'appartenir à l'EI un certificat de sécurité nécessaire pour obtenir une carte d'identité ou tout autre document officiel", relève cette organisation.
"Dénier ces droits en raison de relations familiales et non en fonction de décisions sécuritaires individuelles est une forme de punition collective, ce qui est interdit selon les lois internationales sur les droits de l'Homme", note HRW.