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Deux Japonais connus pour leurs sympathies d'extrême droite ont été arrêtés vendredi après avoir tiré sur un bâtiment qui fait de facto office d'ambassade de Corée du Nord à Tokyo, a indiqué la police locale.
Personne n'a été blessé dans l'attaque, survenue aux premières heures de la matinée et qui a simplement endommagé la porte de l'édifice.
Le bâtiment visé abrite l'association Chongryon, qui regroupe des membres de la communauté coréenne au Japon favorables au régime de Pyongyang.
L'incident, rare dans un pays jouissant d'un taux de criminalité extrêmement bas, intervient alors que les jeux Olympiques d'hiver en Corée du Sud ont favorisé une détente spectaculaire entre les deux Corées, avec la participation d'une délégation de hauts responsables nord-coréens à Pyeongchang.
Selon les médias locaux, les deux hommes sont liés à des mouvements d'extrême droite.
Génocide
Les autorités turques ont convoqué le chargé d'affaires néerlandais afin d'exprimer leur mécontentement devant la reconnaissance par le Parlement des Pays-Bas du "génocide arménien" de 1915.
Les députés néerlandais ont adopté jeudi un texte allant dans ce sens, reconnaissant le "génocide", rejoignant ainsi la dizaine d'autres pays de l'Union européenne qui ont déjà fait de même, provoquant la condamnation d'Ankara.
Le gouvernement néerlandais a, quant à lui, déclaré que malgré l'ampleur du soutien à la motion -- seuls trois députés ont voté contre sur un total de 150 --, il ne ferait pas de la reconnaissance du génocide la position officielle du pays.
Ankara reconnaît qu'un grand nombre d'Arméniens sont morts lors de combats contre les forces ottomanes en 1915, dans le cadre de la Première Guerre mondiale, mais conteste l'idée qu'il y a eu alors une volonté systématique de les exterminer, rejetant de ce fait le qualificatif de "génocide".