Vingt-deux rebelles syriens portent les symptômes d'une attaque aux "gaz chimiques" après avoir été visés par une roquette tirée par des combattants de l'organisation Etat islamique (EI) dans le nord de la Syrie, rapportent des médias turcs.
Selon l'agence de presse Anatolie, qui cite des sources militaires turques, l'attaque s'est produite dans la région d'Haliliye, où les rebelles soutenus par la Turquie assiègent la ville d'Al Bab, contrôlée par l'EI. La date de l'attaque n'a pas été précisée.
"Vingt-deux rebelles présentent les symptômes d'une exposition à des gaz chimiques, aux yeux et sur leur corps, après une attaque à la roquette de Daech", écrit la presse turque reprenant un communiqué de l'armée.
Ces rebelles ont été admis dans un hôpital situé à la frontière turque. Tous souffrent de sévères maux de tête, rapporte le journal turc Hurriyet.
Suisse
Les électeurs suisses devaient se prononcer hier sur une accélération de la sortie du nucléaire de leur pays, qui prévoit la fermeture de 3 de ses 5 réacteurs dès l'an prochain.
Quelques mois après la catastrophe nucléaire de Fukushima au Japon, provoquée en mars 2011 par un tsunami meurtrier, les autorités suisses avaient décidé de fermer progressivement les centrales nucléaires, sans toutefois fournir de calendrier précis.
L'idée du gouvernement est de décommissionner les 5 réacteurs qui produisent environ un tiers de l'électricité en Suisse, au fur et à mesure qu'ils approchent de leur fin de vie.
Mais toutes les centrales nucléaires suisses opèrent sous des licences qui leur permettent de continuer à produire tant qu'elles répondent aux critères de sécurité.