La position de la présidente sud-coréenne Park Geun-Hye est devenue un peu plus précaire dimanche, le parquet la soupçonnant désormais de "collusion" avec les acteurs d'un scandale de corruption majeur qui a jeté la population dans la rue.
A un an de la fin de son mandat, Mme Park est malmenée depuis de longues semaines par une enquête centrée sur une de ses vieilles amies, Choi Soon-Sil, une confidente de l'ombre arrêtée début novembre.
Mme Choi, 60 ans, est accusée d'avoir usé de son influence sur la présidente, alors qu'elle n'occupait aucun poste officiel, pour extorquer des sommes astronomiques à des groupes industriels.
Elle et un ex-conseiller présidentiel, Ahn Jong-beom, ont été formellement inculpés pour abus de pouvoir et extorsion. Un autre ancien conseiller, Jeong Ho-Seong, est poursuivi pour avoir donné à Mme Choi des documents classifiés.
Tempête
Le nord-ouest de la France était balayé dimanche par des vents violents, jusqu'à 160 km/h, et 44.000 foyers ont été privés d'électricité, a-t-on appris auprès d'Enedis, gestionnaire du réseau d'électricité.
Les coupures de courant touchaient environ 25.000 foyers en Normandie et 19.000 foyers en Bretagne dimanche matin.
Ces vents ont également entraîné des chutes d'arbres et endommagé des toitures, sans accident sérieux ni victime recensé pour le moment, selon les autorités locales contactées par l'AFP.
Si l'alerte a été levée sur une partie du Nord-Ouest, la vigilance reste de mise ailleurs jusqu'à lundi soir.
Selon Météo-France, il s'agit d'"une tempête commune en mer, de l'Atlantique à la Manche, et (d'un) fort coup de vent sur le nord-ouest de la France" -- un "événement se produisant trois à quatre fois par an".