-
Dans la Corne de l'Afrique, une dangereuse escalade entre Ethiopie et Somalie
-
Pékin "en alerte" après la traversée du détroit de Taïwan par un navire japonais
-
Les frappes israéliennes au Liban se poursuivent: Tel-Aviv rejette un appel international au cessez-le-feu
-
Nouvelles frappes israéliennes sur le Liban au lendemain d'une journée meurtrière
-
La France a "un des pires déficits de (son) histoire"
AMMC: mise à jour annuelle du programme d’émission de billets de trésorerie de Label’Vie
Marrakech : Hausse de 8% des nuitées dans les EHTC à fin juillet dernier
AMMC: mise à jour annuelle du programme d’émission de bons des sociétés de financement d'Eqdom
Rabat : Lancement officiel de la Stratégie nationale "Maroc Digital 2030"
NewsJeudi 6 Mars 2014
Autres articles
Explosion L'explosion d'une bombe artisanale au passage d'un convoi militaire a tué au mois trois soldats mercredi dans le nord-ouest du Pakistan, malgré un cessez-le-feu entre les autorités et les rebelles talibans pour relancer le processus de paix, ont indiqué des responsables. La bombe a explosé à l'entrée de Kurram, une des sept zones tribales du nord-ouest du pays, qui servent de refuges à une myriade de groupes islamistes armés opérant dans la région. "Au moins trois paramilitaires ont été tués et onze autres blessés", a déclaré à l'AFP une source sécuritaire. Ce bilan pourrait s'alourdir car des blessés sont dans un état critique, a souligné un autre responsable. Libération Le fils du chef des Forces spéciales de l'armée libyenne a été libéré mercredi, plus d'un mois après son enlèvement par des inconnus à Benghazi, dans l'est libyen, a annoncé à l'AFP un porte-parole de l'armée. "Le fils de Wanis Abou Khamada a été libéré. Il est en route pour sa maison", a déclaré ce porte-parole Miloud al-Zwei. M. Al-Zwei n'était pas en mesure de donner de détails sur les circonstances de l'enlèvement ou de la libération d'Ali Abou Khamada. Ali, un étudiant, avait été enlevé le 30 janvier par un groupe armé à sa sortie de l'université de Garyounes à Benghazi. Quelques heures après son enlèvement, des heurts avaient opposé les forces spéciales à des groupes armés, faisant au moins un mort dans les rangs de l'armée. Les affrontements les plus violents ont eu lieu autour de la caserne de la Brigade des martyrs du 17 février, un groupe d'ex-rebelles d'obédience islamiste qui avait démenti toute implication dans l'enlèvement
Lu 235 fois
Nouveau commentaire :
Dans la même rubrique :
Dossiers du weekend | Actualité | Spécial élections | Les cancres de la campagne | Libé + Eté | Spécial Eté | Rétrospective 2010 | Monde | Société | Régions | Horizons | Economie | Culture | Sport | Ecume du jour | Entretien | Archives | Vidéo | Expresso | En toute Libé | USFP | People | Editorial | Post Scriptum | Billet | Rebonds | Vu d'ici | Scalpel | Chronique littéraire | Chronique | Portrait | Au jour le jour | Edito | Sur le vif | RETROSPECTIVE 2020 | RETROSPECTIVE ECO 2020 | RETROSPECTIVE USFP 2020 | RETROSPECTIVE SPORT 2020 | RETROSPECTIVE CULTURE 2020 | RETROSPECTIVE SOCIETE 2020 | RETROSPECTIVE MONDE 2020 | Videos USFP | Economie_Zoom | Economie_Automobile | TVLibe |
|
||||
|