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La police espagnole a annoncé, dimanche 10 novembre, l'arrestation de 25 membres présumés d'un réseau international de trafic d'êtres humains créé au Nigeria en 1990. L'opération, fruit d'une enquête entamée en octobre 2012, a permis de libérer cinq femmes, dont une enceinte.
Trompées par la promesse d'un travail en Europe, les femmes étaient recrutées au Nigeria pour être envoyées en Espagne et dans d'autres pays européens. Au Nigeria, "cette organisation leur fournissait un faux passeport, un visa de transit et des billets d'avion pour le Mexique ou le Brésil, d'où elles se rendaient à Paris", a précisé le communiqué de la police.
A Paris, elles étaient prises en charge par un membre de l'organisation qui les emmenait en voiture en Espagne où il leur confisquait tous leurs papiers d'identité, selon le communiqué.
Grèce
La motion de censure déposée par la Syriza, principal parti d'opposition (gauche radicale), a été rejetée dans la nuit de dimanche 10 au lundi 11 novembre par la majorité des députés du gouvernement de coalition de la droite et des socialistes d'Antonis Samaras.
Sur les trois cents députés que compte la chambre, cent cinquante-trois, dont la plupart de la majorité de la coalition gouvernementale, ont voté contre cette motion de censure déposée par Synaspismós Rhizospastikís Aristerás (Coalition de la gauche radicale, Syriza) jeudi après l'évacuation par la police des locaux de l'ancienne télévision publique ERT. Cent vingt-quatre députés de la Syriza et de trois autres partis d'opposition ont voté en faveur du renversement du gouvernement : les communistes (Kommounistiko Komma Elladas, KKE), les Grecs indépendants (populiste, nationaliste) et les néonazis d'Aube dorée.