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Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a dénoncé mardi les opposants «extrémistes» dans le conflit en Syrie, les accusant de miser sur la solution militaire et d’empêcher toute tentative de dialogue. Le régime du président syrien Bachar al-Assad s’est dit pour la première fois lundi prêt au dialogue avec les rebelles armés pour mettre fin au conflit, mais ces derniers ont rejeté toute négociation avant le départ du chef de l’Etat et le retrait de l’armée des villes. La Russie a jusqu’à présent bloqué, avec la Chine, tous les projets de résolution du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant le régime du président Assad.
Le conflit armé en Syrie a fait près de 70.000 morts en bientôt deux ans, selon l’ONU.
Nucléaire
L’Iran qui a annoncé samedi la découverte d’importants gisements d’uranium naturel et l’identification de sites pour 16 nouvelles centrales nucléaires a entamé mardi avec les puissances du groupe 5+1 les négociations à Almaty, au Kazakhstan. Ils tenteront de surmonter leurs divergences et mettre un terme à la crise du nucléaire iranien. L’Iran devait proposer une nouvelle offre aux puissances du groupe 5+1 sur son programme nucléaire controversé au cours d’importantes négociations à Almaty visant à surmonter les divergences entre les deux parties, a indiqué mardi une source proche de l’équipe de négociateurs iraniens. Les grandes puissances (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, Chine et Allemagne) devraient proposer un allègement des sanctions à l’encontre de l’Iran.