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Une quinzaine de jihadistes soupçonnés de préparer une attaque ont été tués le 10 janvier dans le centre du Mali par des frappes aériennes françaises, a annoncé l'état-major des armées françaises dans son point opérationnel hebdomadaire.
"Le 10 janvier, des frappes aériennes ont été menées par des Mirage 2000 et un Atlantique 2 de la force (Barkhane), appuyés par un drone Reaper, sur ce groupe terroriste" localisé dans la zone de Dialoubé, au nord de Mopti, et "une quinzaine de terroristes a été mise hors de combat", selon l'état-major.
"Ces succès ont permis de réduire le niveau de menace dans cette région peu accessible du delta intérieur du Niger" et "s'inscrivent dans la continuité d'opérations menées conjointement avec les forces maliennes, mi-décembre et début janvier", se félicitent les armées françaises.
Immigration
La séparation des enfants migrants de leurs parents a commencé aux États-Unis dès 2017, bien avant de faire scandale, et a concerné "des milliers" de mineurs de plus qu'estimé jusqu'ici, selon un rapport officiel publié jeudi.
Faute de base de données centralisée, le nombre d'enfants concernés au total par cette politique reste toutefois "inconnu", selon ce rapport des services de l'inspecteur général du ministère de la Santé.
Le gouvernement du président Donald Trump avait décrété au printemps une politique de "tolérance zéro" envers l'immigration illégale qui avait conduit à la séparation de nombreuses familles. Les drames vécus par ces familles ont suscité un tollé jusque dans les rangs républicains.
En juin, le milliardaire républicain avait ordonné d'y mettre un terme, et le 28 juin, un juge avait ordonné de réunir les familles divisées.
Les autorités ont ensuite identifié un peu plus de 2.700 enfants à réunir avec leurs parents. La grande majorité d'entre eux les ont bien retrouvés.