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Les secouristes indonésiens recherchaient fébrilement lundi des survivants au tsunami qui a fait au moins 281 morts, alors que les experts mettent en garde contre le risque de déferlement de nouvelles vagues mortelles dues à l'activité volcanique.
Des équipes de secouristes munis d'excavatrices et d'autres équipements lourds tentaient de dégager les débris tandis que des des milliers de personnes ont été évacuées sur les hauteurs. Certains sauveteurs travaillaient à mains nues.
Le tsunami a frappé soudainement samedi soir les rives du détroit de la Sonde qui sépare les îles de Sumatra et de Java. La catastrophe a fait 281 morts, plus d'un millier de blessés et 57 disparus, selon un nouveau bilan qui devrait encore s'alourdir. "Le nombre de victimes va continuer à augmenter", a prédit Sutopo Purwo Nugroho, porte-parole de l'Agence nationale de gestion des catastrophes.
Egypte
Quatorze jihadistes présumés ont été tués dans des affrontements avec les forces de sécurité dans le Nord-Sinaï, où l'Egypte combat une branche locale du groupe Etat islamique (EI), a annoncé dimanche le ministère de l'Intérieur.
Depuis la destitution en 2013 du président islamiste Mohamed Morsi, les autorités égyptiennes affrontent des groupes extrémistes dans cette péninsule bouclée par l'armée.
"Huit éléments terroristes sont morts" lors d'un raid des forces de sécurité contre une "cellule terroriste" à al-Arich, a déclaré le ministère dans un communiqué. Al-Arich est la capitale du Nord-Sinaï, où l'EI est particulièrement actif.
Six autres jihadistes présumés ont été tués lors d'un échange de tirs avec les forces alors qu'ils tentaient de fuir, a ajouté le ministère.
La cellule avait planifié des attaques contre "les installations importantes et vitales ainsi que les hommes de la police et des forces armées", a-t-il précisé.
Environ 500 jihadistes présumés sont morts depuis le lancement en février d'une vaste campagne "anti-terroriste" baptisée "Sinaï 2018", selon les chiffres de l'armée.