-
Le Nobel de médecine aux Américains Ambros et Ruvkun pour une percée dans la régulation des gènes
-
Kais Saied donné vainqueur de la présidentielle tunisienne
-
Liban: Les civils coincés entre déplacements et impossibilité de se mettre à l'abri
-
Un an après le 7 octobre: Des manifestations de par le monde en soutien à Gaza
-
Un responsable du Hezbollah affirme que le contact avec le haut dirigeant Safieddine a été "perdu" depuis vendredi
Un nouveau colis suspect adressé à CNN a été intercepté à Atlanta, a annoncé la chaîne de télévision américaine lundi, alors que l'homme accusé d'avoir envoyé les 14 autres colis piégés a été placé en détention sans possibilité de libération sous caution par un juge fédéral à Miami.
Le paquet suspect, le 15e découvert depuis une semaine, a été localisé dans un bureau de poste d'Atlanta, en Géorgie, a précisé le président de CNN, Jeff Zucker, sur Twitter.
L'homme soupçonné d'avoir envoyé ces colis piégés à des personnalités démocrates et à des détracteurs du président Donald Trump, Cesar Sayoc, un habitant de Floride de 56 ans, a été arrêté vendredi.
Il a comparu lundi devant le juge Edwin Torres qui a ordonné son placement en détention.
Cesar Sayoc a gardé le silence pendant sa comparution, se contentant de reconnaître les faits qui lui sont reprochés pendant l'énumération des cinq charges retenues contre lui, dont transport et envoi illégal d'explosifs et menace envers un ancien président.
Attaque
Au moins cinq personnes, dont trois civils, ont été tuées lundi et dix autres enlevées à Al-Joufra, dans le centre de la Libye, lors d'une attaque revendiquée par le groupe Etat islamique (EI), a-t-on appris de sources locales et militaires.
La région d'Al-Joufra est contrôlée depuis plus d'un an par les forces du maréchal Khalifa Haftar, homme fort de l'est libyen et bête noire des islamistes, qui dirige l'autoproclamée Armée nationale libyenne (ANL).
L'attaque a été menée dans le village d'Al-Fuqaha, à plus de 800 km au sud de la capitale Tripoli.
Dans un communiqué relayé par SITE, le centre américain de surveillance des sites jihadistes, l'EI a indiqué avoir pris le contrôle du village pendant plusieurs heures et a revendiqué une attaque suicide contre des membres de l'ANL.
Il dit avoir pris d'assaut un poste de police et des maisons à la recherche d'"apostats" appartenant à l'armée et à la police et des espions, "ce qui a permis d'arrêter un grand nombre de personnes recherchées".