-
Le Nobel de médecine aux Américains Ambros et Ruvkun pour une percée dans la régulation des gènes
-
Kais Saied donné vainqueur de la présidentielle tunisienne
-
Liban: Les civils coincés entre déplacements et impossibilité de se mettre à l'abri
-
Un an après le 7 octobre: Des manifestations de par le monde en soutien à Gaza
-
Un responsable du Hezbollah affirme que le contact avec le haut dirigeant Safieddine a été "perdu" depuis vendredi
Un attentat-suicide perpétré par un kamikaze à pied, lundi près d'un véhicule qui pénétrait au siège de la Commission électorale indépendante (CEI) à Kaboul, a fait un mort et six blessés, ont indiqué des responsables.
Les policiers qui surveillent l'entrée du complexe hautement sécurisé de la Commission électorale "ont repéré" le kamikaze et "l'ont abattu avant qu'il n'atteigne sa cible", a déclaré à l'AFP un porte-parole de la police de Kaboul, Basir Mujahid.
Selon lui, "l'explosion s'est produite à 20 mètres des voitures des employés de la CEI", à 08H00 heure locale (03H30 GMT).
"Un policier a été tué" dans l'explosion "et six personnes ont été blessées, deux policiers et quatre membres de la CEI", a-t-il ajouté.
Plus tôt, le porte-parole adjoint de la CEI, Zabihullah Sadat, avait confirmé "une attaque suicide visant nos collègues à l'entrée de notre bâtiment". L'attentat-suicide n'a pour l'heure pas été revendiqué.
Libye
Le maréchal Khalifa Haftar, l'homme fort de l'est libyen, était en visite lundi à Rome pour préparer la conférence internationale sur la Libye prévue à Palerme (Sicile) les 12 et 13 novembre, a annoncé le bureau du chef du gouvernement italien, Giuseppe Conte.
Arrivé dimanche, M. Haftar a rencontré M. Conte dans l'après-midi et devait s'entretenir lundi avec le ministre italien des Affaires étrangères, Enzo Moavero Milanesi.
Selon la presse italienne, l'Italie tente de convaincre M. Haftar du bien-fondé d'un plan de sortie de crise que l'émissaire de l'ONU en Libye, Ghassan Salamé, doit présenter au Conseil de sécurité quelques jours avant la conférence de Palerme.
Vendredi, M. Conte avait déjà reçu successivement Fayez al-Sarraj, le chef du le gouvernement d'union nationale (GNA) reconnu par la communauté internationale, puis M. Salamé.
Ce dernier a estimé que la conférence de Palerme pourrait "donner un signal essentiel de soutien de la communauté internationale au processus politique, qui se trouve dans une phase particulièrement importante", selon le bureau de M. Conte.