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Cinquante-deux jihadistes présumés et trois militaires ont été tués dans le cadre d'opérations "antiterroristes" dans la région égyptienne du Sinaï (est) où les forces de défense mènent une vaste campagne contre le groupe Etat islamique (EI), a annoncé lundi l'armée.
Les forces armées égyptiennes ont lancé le 9 février l'opération "Sinaï 2018", à la demande du président Abdel Fattah al-Sissi, après une attaque attribuée à l'EI par les autorités qui avait fait plus de 300 morts dans une mosquée de la péninsule.
Dans un communiqué publié lundi, l'armée annonce "l'élimination" de 52 "takfiristes" (extrémistes) au cours de deux opérations différentes menées par les forces de sécurité. Trois militaires ont également perdu la vie dans ces opérations, selon la même source qui ne précise pas quand exactement elles ont eu lieu.
Plus de 350 jihadistes présumés et une trentaine de soldats sont morts depuis le lancement de "Sinaï 2018", selon des chiffres officiels.
Indonésie
Le bilan du séisme suivi du tsunami qui a ravagé l'île indonésienne des Célèbes a été porté à près de 2.000 morts, ont annoncé lundi les autorités locales alors que les sauveteurs mènent, avant un point final prévu jeudi, les dernières recherches de corps de victimes qui pourraient encore être des milliers sous les décombres.
Le bilan macabre des corps découverts à Palu, ville de 350.000 habitants sur la côte occidentale de l'île, et ses environs, dévastés par un séisme de magnitude 7,5 suivi d'une vague meurtrière le 28 septembre, a été légèrement relevé lundi.
"Ce matin le bilan est de 1.948 morts", a indiqué Achmad Djamaluddin, un responsable de la distribution de l'aide auprès du ministère de la Sécurité, au cours d'un point de presse.
Mais ce chiffre devrait encore monter. Les autorités ont indiqué dimanche craindre que jusqu'à 5.000 personnes soient disparues, prisonnières des décombres.
Il n'y a quasiment plus d'espoir de retrouver des survivants à présent et les efforts se concentrent désormais sur la récupération des corps et leur comptage.