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Le "oui" l'a très largement emporté dimanche au référendum, marqué par une forte abstention, organisé pour que les Macédoniens se prononcent sur le changement de nom de leur pays afin de se réconcilier avec la Grèce et de s'arrimer à l'Europe ainsi qu'à l'Otan.
C'est désormais au parlement de "confirmer la volonté de la majorité", a peu après dit à l'AFP le Premier ministre Zoran Zaev, ce scrutin consultatif devant désormais être validé par les deux tiers des députés.
Une majorité dont ne disposent pas le chef du gouvernement social-démocrate et ses alliés des partis de la minorité albanaise (20 à 25% des 2,1 millions d'habitants de ce pays majoritairement slave) qui doivent donc compter sur le ralliement d'une dizaine de députés de l'opposition de droite (VMRO-DPMNE).
90,72% des électeurs qui ont pris part au référendum ont approuvé la nouvelle appellation de "République de Macédoine du Nord" pour leur petit Etat des Balkans, selon les résultats de la commission électorale portant sur près de la moitié (43,57%) des suffrages. 6,26% ont voté contre.
Démantèlement
La police allemande a annoncé lundi le démantèlement d'un groupuscule néonazi qualifié de "terroriste", soupçonné d'avoir planifié divers attentats et attaques notamment contre des étrangers dans le sillage des manifestations anti-migrants de Chemnitz.
Cette "association terroriste d'extrême droite" baptisée "Révolution Chemnitz" projetait notamment une "action", aux détails non encore éclaircis, mais visant très probablement des étrangers, mercredi en Allemagne à l'occasion de la célébration annuelle de la réunification du pays en 1990, a indiqué le parquet anti-terroriste dans un communiqué.
Au total, sept hommes âgés entre 20 et 31 ans sont sous les verrous dans le cadre de cette affaire. Six d'entre eux ont été interpellés lundi lors d'une opération ayant mobilisé une centaine de policiers.
Le septième, présenté comme le chef de file du groupuscule, avait déjà été arrêté mi-septembre dans le cadre d'une affaire de troubles à l'ordre public.