-
Un an après le 7 octobre: Des manifestations de par le monde en soutien à Gaza
-
Un responsable du Hezbollah affirme que le contact avec le haut dirigeant Safieddine a été "perdu" depuis vendredi
-
Intenses bombardements israéliens sur Beyrouth : Frappes meurtrières dans la bande de Gaza
-
Situation au Liban: Session extraordinaire de la Ligue arabe au niveau des délégués permanents
-
Nuit de bombardements intenses sur la banlieue sud de Beyrouth
Une voiture a percuté et blessé trois personnes à proximité d'une mosquée londonienne dans la nuit de mardi à mercredi, a annoncé Scotland Yard, dans un incident qui pourrait être à caractère islamophobe.
Deux hommes âgés d'une vingtaine d'années souffrent de blessures "mineures", tandis qu'un quinquagénaire a été hospitalisé suite à "une blessure sérieuse à la jambe".
"Nous prenons cet incident très au sérieux", a déclaré l'officier de police Kelly Schonhage dans un communiqué. "Il n'est pas traité comme étant de nature terroriste mais l'aspect haineux de cette collision est examiné comme une circonstance aggravante". La police londonienne a établi que vers 00H20 (23H20 GMT mardi), les occupants d'une voiture "se comportaient de manière anti-sociale" sur un parking privé à proximité de la mosquée Al-Majlis Al-Hussaini, dans le quartier de Cricklewood, dans la banlieue nord-ouest de la capitale britannique. "Ils buvaient et auraient consommé des drogues", selon Scotland Yard.
Pakistan
La Cour suprême du Pakistan a ordonné mercredi la remise en liberté de l'ancien Premier ministre pakistanais Nawaz Sharif et de sa fille Maryam Nawaz, condamnés respectivement à dix et sept ans de prison en juillet pour corruption.
Ces condamnations sont suspendues en attendant le résultat d'un examen en appel par le même tribunal.
La décision a été célébrée bruyamment par une foule de partisans de Nawaz Sharif rassemblée devant le siège de la Cour.
Nawaz Sharif, revenu au pouvoir en 2013 après avoir dirigé le gouvernement à deux précédentes reprises, a été destitué en 2017 en raison d'une enquête sur la fortune de sa famille, lancée à la suite de révélations dans l'affaire des "Panama Papers" en 2016. Le tribunal de l'Office anticorruption pakistanais (NAB) l'a condamné à dix ans de prison et à l'équivalent de 9 millions d'euros d'amende le 6 juillet dernier pour l'achat par sa famille d'appartements de luxe à Londres.
Nawaz Sharif nie tout en bloc et dénonce un complot manigancé par l'armée pakistanaise visant à l'écarter de la vie politique.