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Le président vénézuélien Nicolas Maduro a une nouvelle fois accusé lundi son homologue colombien, Juan Manuel Santos, d'être impliqué dans l'"attentat" dont il dit avoir été la cible.
Les forces de sécurité "ont capturé tous les auteurs matériels et nous allons poursuivre les auteurs intellectuels. C'est clair, et il y a suffisamment de preuves de la participation du gouvernement colombien sortant de Juan Manuel Santos", a déclaré M. Maduro dans une vidéo postée sur Twitter dans la nuit de lundi à mardi.
M. Santos achève son mandat mardi et cède le pouvoir au nouveau président colombien Ivan Duque.
M. Maduro a assuré que les responsables des deux drones chargés d'explosifs qui, selon les autorités vénézuéliennes, ont détoné samedi à proximité de la tribune présidentielle avaient été formés dans la ville colombienne de Chinacota, située dans le nord-est de la Colombie.
Condamnation
Trois soldats congolais ont été condamnés à trois ans de prison pour un "meurtre de masse" commis en 2014 en Centrafrique, selon l'ONG Human Rights Watch (HRW) qui a estimé mardi que la sentence ne "reflète pas la gravité du crime".
"Les peines de trois ans de prison prononcées contre trois soldats de la paix congolais reconnus coupables du meurtre de 11 civils en République centrafricaine en 2014 ne reflètent pas la gravité du crime", a indiqué HRW dans un communiqué.
L'ONG, qui indique n'avoir pas pu avoir accès avant le mois de juillet au jugement rendu en avril, souligne que les trois soldats "sont maintenant libres, ayant purgé la majeure partie de leur peine dans l'attente de leur verdict".
En mars 2014, une dizaine de civils avaient été portés disparus dans les environs de Boali, à 100 km de Bangui, après une altercation entre milices antibalaka et soldats de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine (Misca, remplacée depuis par une force de l'ONU, la Minusca).