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Ces revendications, Ould Sidi Mauloud les a définies en un seul point : retrouver les membres de sa famille restés dans les camps de Tindouf et dont il est séparé depuis plus de deux ans.
Le militant sahraoui qui avait rejeté l’idée du droit d’asile en Finlande, a indiqué qu’un bureau relevant du HCR l’a convoqué pour lui signaler que cette instance s’occupe actuellement des procédures visant à régulariser sa situation et lui a demandé de suspendre sa grève de la faim. Chose qu’il a refusé en l’absence de garanties juridiques de la part du HCR. Ould Sidi Mauloud a souligné, en outre, que la réunion qu’il a tenue avec les représentants du HCR s’est soldée par un engagement écrit de ces derniers à étudier son cas pour lui permettre de retrouver sa famille.