-
Dans la Corne de l'Afrique, une dangereuse escalade entre Ethiopie et Somalie
-
Pékin "en alerte" après la traversée du détroit de Taïwan par un navire japonais
-
Les frappes israéliennes au Liban se poursuivent: Tel-Aviv rejette un appel international au cessez-le-feu
-
Nouvelles frappes israéliennes sur le Liban au lendemain d'une journée meurtrière
-
La France a "un des pires déficits de (son) histoire"
M. Morsi, qui s'exprimait devant la communauté égyptienne à Doha, où il a assisté au sommet de la Ligue arabe, a indiqué qu'il s'attendait "à ce que les élections législatives se déroulent en octobre et que le Parlement siège d'ici la fin de l'année", a indiqué la Mena. La chambre haute du Parlement, qui exerce temporairement le pouvoir législatif, a approuvé tard mardi une loi électorale. Ce texte doit être examiné par la plus haute instance juridique du pays avant ratification.
Les élections législatives étaient initialement prévues en avril, mais un tribunal administratif a ordonné son annulation, estimant que M. Morsi avait ratifié la première loi électorale sans la faire valider par le Cour suprême constitutionnelle, comme l'exige la Constitution.
Le président Morsi a à plusieurs reprises fait valoir que des élections marqueraient un début de retour à la stabilité, écartant des critiques sur le fait que les troubles et les profondes divisions qui agitent le pays rendaient le moment inopportun pour un scrutin. La principale coalition de l'opposition, le Front de salut national, a déjà annoncé son intention de boycotter le vote d'avril, exprimant des doutes quant à sa transparence, et a réclamé une nouvelle loi électorale.