L’Institut Cervantès de Casablanca clôture son cycle de cinéma « Mercredi cinéma » du mois en cours par la projection du film « Ma vie sans moi » (titre original : « Mi vida sin mi »), ce mercredi 25 mars à partir de 19h.
L’occasion pour les cinéphiles de revoir ce film dramatique sur la vie, adapté du roman « Pretending the bed is a raft » de Nanci Kincaid, et produit par Pedro Almodovard. Mais aussi de se faire leurs propres opinions sur le talent de sa réalisatrice, Isabel Coixet et des acteurs qui ont tourné dans cette production.
Une semaine après « Mataharis » du réalisateur Iciar Bollain, le Théâtre de l’Institut Cervantès de Casablanca met à nouveau à l’honneur le cinéma en servant de cadre à la projection de ce film espagnol d’1h42 minutes, produit en 2003. Et magnifiquement interprété par les comédiens Mark Ruffalo, Sarah Polley, Amanda Plummer, Deborah Harry et Scott Speedman. Le scénario étant signé Isabel Coitxet et Nanci Kincaid.
Formidable ode à la vie, « Ma vie sans moi » relate l’histoire d’une jeune femme, Anne, âgée de 23 ans, mère de deux petites filles et dont l’époux est au chômage. Qui apprend du jour au lendemain qu’elle souffre d’un cancer incurable.
Refusant de tomber dans la tristesse, elle décide de prendre la vie du bon côté en se consacrant à ce qu’elle estime être ses priorités, envies et rêves.
De réaliser tout simplement certains de ses désirs. Des résolutions qui transformeront rapidement la triste mais tranquille existence qu’elle avait jusqu’alors connue.
Grâce à la force de son caractère et sa volonté, elle parvient à cacher aux siens le mal qui la ronge, allant jusqu’à leur faire croire qu’elle souffre d’une anémie. Une démarche qui l’aide à faire du temps qui lui reste à vivre, celui des rires, des câlins et d’amour. Et espérer ainsi préparer un tant soit peu l'avenir de ceux qu'elle aime. Et témoigner l’amour qu’elle porte à ses filles.
Pour immortaliser ces moments pleins de tendresse, de joie mais aussi d’émotion contenue, espérant que ses enfants pourront un jour revoir lorsqu’elles auront grandi. Des enregistrements qu’elle confiera à son médecin qui devait en temps voulu les remettre à son tour aux premiers intéressés.
A travers cette production, la cinéaste Isabel Coixet nous fait suivre les sentiments d'Ann tout au long de cette dure épreuve.
Mercredi 25 mars
Théâtre de l’Institut Cervantès
Casablanca 19h.
Repères
Isabel Coixet est diplômée d'histoire contemporaine. Avant «Ma vie sans moi», elle a écrit et réalisé «Cosas que nunca te dije» (1996), drame interprété par Lili Taylor, et le téléfilm «L'heure des nuages» (1998). Directrice artistique à l'Agence JWT, elle a également fondé l'Agence Target et la société de production Eddie Saeta spécialisée dans les spots publicitaires.
L’occasion pour les cinéphiles de revoir ce film dramatique sur la vie, adapté du roman « Pretending the bed is a raft » de Nanci Kincaid, et produit par Pedro Almodovard. Mais aussi de se faire leurs propres opinions sur le talent de sa réalisatrice, Isabel Coixet et des acteurs qui ont tourné dans cette production.
Une semaine après « Mataharis » du réalisateur Iciar Bollain, le Théâtre de l’Institut Cervantès de Casablanca met à nouveau à l’honneur le cinéma en servant de cadre à la projection de ce film espagnol d’1h42 minutes, produit en 2003. Et magnifiquement interprété par les comédiens Mark Ruffalo, Sarah Polley, Amanda Plummer, Deborah Harry et Scott Speedman. Le scénario étant signé Isabel Coitxet et Nanci Kincaid.
Formidable ode à la vie, « Ma vie sans moi » relate l’histoire d’une jeune femme, Anne, âgée de 23 ans, mère de deux petites filles et dont l’époux est au chômage. Qui apprend du jour au lendemain qu’elle souffre d’un cancer incurable.
Refusant de tomber dans la tristesse, elle décide de prendre la vie du bon côté en se consacrant à ce qu’elle estime être ses priorités, envies et rêves.
De réaliser tout simplement certains de ses désirs. Des résolutions qui transformeront rapidement la triste mais tranquille existence qu’elle avait jusqu’alors connue.
Grâce à la force de son caractère et sa volonté, elle parvient à cacher aux siens le mal qui la ronge, allant jusqu’à leur faire croire qu’elle souffre d’une anémie. Une démarche qui l’aide à faire du temps qui lui reste à vivre, celui des rires, des câlins et d’amour. Et espérer ainsi préparer un tant soit peu l'avenir de ceux qu'elle aime. Et témoigner l’amour qu’elle porte à ses filles.
Pour immortaliser ces moments pleins de tendresse, de joie mais aussi d’émotion contenue, espérant que ses enfants pourront un jour revoir lorsqu’elles auront grandi. Des enregistrements qu’elle confiera à son médecin qui devait en temps voulu les remettre à son tour aux premiers intéressés.
A travers cette production, la cinéaste Isabel Coixet nous fait suivre les sentiments d'Ann tout au long de cette dure épreuve.
Mercredi 25 mars
Théâtre de l’Institut Cervantès
Casablanca 19h.
Repères
Isabel Coixet est diplômée d'histoire contemporaine. Avant «Ma vie sans moi», elle a écrit et réalisé «Cosas que nunca te dije» (1996), drame interprété par Lili Taylor, et le téléfilm «L'heure des nuages» (1998). Directrice artistique à l'Agence JWT, elle a également fondé l'Agence Target et la société de production Eddie Saeta spécialisée dans les spots publicitaires.
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