Et de sept pour le Festival international de Mhamid El Ghizlane qui aura lieu du 12 au 15 mars. La belle constellation de cette 7ème édition reste la participation de la star malienne Salif Keita qui retrouvera une ambiance géographique, naturelle et culturelle non loin de la sienne. La dimension internationale de cette manifestation est consolidée par la présence de Kengurovinca d’Espagne, Simon Nwamben du Cameroun, du groupe maroco-suisse Naghma, Elzed de France et du Théâtre "La vie est un songe" de Calderon de la Barca, Compagnie Grand voyage de l'Association Maha Ayanam.
Les deux scènes de ce festival qui se veut aussi un carrefour pour la réflexion et l'action dans le but d'ancrer la protection de l'environnement dans nos comportements quotidiens, verront les prestations de troupes et groupes à l’échelle nationale, en l’occurrence Said Charradi et la musique de "tarabe" hassani de Laâyoune, les frères Soudani qui interpréteront les rythmes Gnawa d’Essaouira, le groupe Nassr de percussionnistes de Rabat et la célèbre troupe « Danse de l’Abeille » de Kelâa M’gouna. La vallée de Drâa sera représentée lors de cette manifestation par deux troupes populaires, à savoir Lkrab et Rokba avec son fameux maestro Mohamed Kertaoui. Par ce programme riche et varié, l’Association Nomades du monde continue son bonhomme de chemin, une belle aventure qui fête cette année le nomadisme et l’environnement. Le contexte est propice, avec le débat sur la Charte pour l’environnement, et l’avenir commun de ces deux partenaires oblige. Citoyenne, cette manifestation illustre les liens forts entre le nomadisme et l'environnement. L’agenda des festivaliers est bien chargé avec un programme de sensibilisation sur la protection de l’eau et plus particulièrement de l'eau potable, par la société Ecolette et l’Association Terr’eau (France). Dans ce contexte, des ateliers seront initiés sur la fabrication des toilettes sèches, l’entretien et les compostages : transmettre le savoir-faire aux acteurs locaux. Dans une initiative novatrice, les organisateurs ont prévu une campagne de récolte et d’achat des plastiques rejetés dans le désert par le vent. Une exposition relative aux échantillons des déchets trouvés dans le désert et aux pollueurs, sera également montée, en guise de sensibilisation des acteurs touristiques aux dangers courus. Les férus du 7ème art seront également comblés dans la mesure où le programme prévoit la projection de films sous le thème « Un écran au désert », action que mène l’Association BER 2012 (association française) pour la découverte du cinéma par les nomades et la population locale et pour la sensibilisation des festivaliers, visiteurs et professionnels du tourisme au nomadisme. Pour finir en beauté, la clôture de cette 7ème édition verra l’attribution de trois récompenses : prix du meilleur éleveur de dromadaires, prix "La clé de la porte du désert" remis au nomade demeurant le plus loin, et prix du vainqueur de la course de dromadaires.
Les deux scènes de ce festival qui se veut aussi un carrefour pour la réflexion et l'action dans le but d'ancrer la protection de l'environnement dans nos comportements quotidiens, verront les prestations de troupes et groupes à l’échelle nationale, en l’occurrence Said Charradi et la musique de "tarabe" hassani de Laâyoune, les frères Soudani qui interpréteront les rythmes Gnawa d’Essaouira, le groupe Nassr de percussionnistes de Rabat et la célèbre troupe « Danse de l’Abeille » de Kelâa M’gouna. La vallée de Drâa sera représentée lors de cette manifestation par deux troupes populaires, à savoir Lkrab et Rokba avec son fameux maestro Mohamed Kertaoui. Par ce programme riche et varié, l’Association Nomades du monde continue son bonhomme de chemin, une belle aventure qui fête cette année le nomadisme et l’environnement. Le contexte est propice, avec le débat sur la Charte pour l’environnement, et l’avenir commun de ces deux partenaires oblige. Citoyenne, cette manifestation illustre les liens forts entre le nomadisme et l'environnement. L’agenda des festivaliers est bien chargé avec un programme de sensibilisation sur la protection de l’eau et plus particulièrement de l'eau potable, par la société Ecolette et l’Association Terr’eau (France). Dans ce contexte, des ateliers seront initiés sur la fabrication des toilettes sèches, l’entretien et les compostages : transmettre le savoir-faire aux acteurs locaux. Dans une initiative novatrice, les organisateurs ont prévu une campagne de récolte et d’achat des plastiques rejetés dans le désert par le vent. Une exposition relative aux échantillons des déchets trouvés dans le désert et aux pollueurs, sera également montée, en guise de sensibilisation des acteurs touristiques aux dangers courus. Les férus du 7ème art seront également comblés dans la mesure où le programme prévoit la projection de films sous le thème « Un écran au désert », action que mène l’Association BER 2012 (association française) pour la découverte du cinéma par les nomades et la population locale et pour la sensibilisation des festivaliers, visiteurs et professionnels du tourisme au nomadisme. Pour finir en beauté, la clôture de cette 7ème édition verra l’attribution de trois récompenses : prix du meilleur éleveur de dromadaires, prix "La clé de la porte du désert" remis au nomade demeurant le plus loin, et prix du vainqueur de la course de dromadaires.
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