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Cette œuvre illustre, à ses yeux, "les abysses de ce que peut faire le comportement humain" et "questionne à la fois l’aspect voyeuriste que nous avons face aux horreurs de ce monde et notre responsabilité face à l’innocence et au rapport de domination qu’on exerce sur nos enfants". Dans la société, les gens essayent, selon lui, d’exercer une pression sur les autres en abusant d’eux. C'est le cas, a-t-il dit, du protagoniste du film (Radu), un fixeur de profession, qui entraîne son beau-fils à la natation et le pousse constamment à vouloir viser la première marche du podium, ou encore celui de Anca, la jeune fille victime de proxénétisme, qui se voit obligée de commettre des actes contre son gré. Ces deux histoires, aussi différentes soient-elles, ont quelque chose en commun, le rapport adulte-enfant, a indiqué Nebbou qui a accepté de jouer dans ce film au vu de la thématique traitée, "un sujet à la fois fort, délicat et difficile".
"Au-delà de faire hommage au beau, à ce qui est drôle et à la vie en général, c’est aussi formidable d’avoir la possibilité, à travers l’art, de traiter un thème universel d’ordre social, entre autres", a noté le comédien.