-
Driss Lachguar reçoit les dirigeants des partis de Palestine, du Koweït et de Libye
-
La portée stratégique de la régionalisation avancée exige une implication accrue de tous les acteurs dans le processus de concertation et de dialogue constructif
-
La Chambre des représentants et le Haut Conseil d'Etat libyens s'accordent sur la phase préliminaire des échéances électorales
-
Crise libyenne : Nasser Bourita souligne la nécessité impérieuse de s'imprégner de l'"esprit de Skhirat"
-
Libération de quatre ressortissants français retenus à Ouagadougou depuis décembre 2023 suite à la médiation de SM le Roi
Exploitant la jeune femme sexuellement, celle-ci était tombée enceinte. Craignant d’être dénoncé, M’Bairik a tenté par tous les moyens de convaincre la jeune Maya de se faire avorter. Mais rien n’y fait, malgré les menaces qu’elle subissait de la part du géniteur de l’enfant qu’elle portait, elle n’a rien voulu savoir, préférant garder son bébé jusqu’au jour où elle mit au monde une fillette. Ayant placé son enfant en lieu sûr, Maya a déclaré avoir vécu une expérience pénible. Elle a expliqué que durant sa grossesse, elle était soumise à une implacable surveillance par l’un des sbires de M’Bairik le décrivant, comme un monstre qui exécutait à la lettre les instructions du chef, non pas parce qu’il craignait ou respectait celui-ci, mais parce que le soutien dont le polisarien jouissait au sein de sa direction était si puissant que l’homme de main risquait sa vie.
Maya a ajouté que malgré les menaces, elle a pu révéler le côté sombre de ce criminel qui s’abrite derrière des déclarations mensongères de militant des droits de l’Homme, précisant qu’elle a d’autres révélations qu’elle fera au moment opportun.