-
À Sète, Mustapha Jmahri explique l’identité maritime d’El-Jadida
-
Journée culturelle bissau-guinéenne au Théâtre Mohammed V : Bonnes performances du groupe «Netos de Bandim» et de l'artiste musicien Binham Quimor
-
La diversité culturelle du Maroc célébrée au Village de la Francophonie à Paris
-
"Le plus grand mariage du monde", un spectacle célébrant les traditions marocaines le 7 décembre prochain à Casablanca
On ne sait pour quelle raison, elle s’est sentie obligée de dire son mot, voire s’immiscer dans des affaires dont on ne lui a pas demandé apparemment son avis.
Est-ce pour se montrer intéressante en préjugeant de la situation dans certains pays arabes ?
Najwa Karam a manqué quelque peu de discernement parce qu’elle connaît finalement mal le Maroc qui lui a souvent offert l’hospitalité généralement sonnante et trébuchante.
Par tact, cette chanteuse par ailleurs appréciée du public marocain aurait pu s’abstenir de jouer à Mme Soleil !
La réponse à ses conjectures n’a pas tardé à venir de la part des organisateurs de Mawazine justement qui, sous forme de camouflet, lui ont indiqué que ce festival annuel qui a pris l’habitude de drainer les super stars de la chanson internationale aura bien lieu, et que rien ne viendra le perturber.
C’est un rendez-vous auquel toutes les couches de la population marocaine se sont habituées, transcendant leurs convictions ou leurs tendances politiques, seul l’art compte pendant une quinzaine de jours.
C’est mal connaître le Maroc et les Marocains que de penser que des interférences étrangères peuvent agir et les obliger à porter le deuil à moins d’un événement tragique exceptionnel.
Que Mme Najwa Karam se rassure !