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“Nous avons Alberto Gilardino qui parle le langage du but, c’est aussi un champion du monde, je suis sûr qu’il peut bien faire”, a estimé le joueur de la Juventus en conférence de presse à Fortaleza.
Concernant le forfait de Balotelli, blessé à une cuisse et qui a quitté lundi le Brésil pour rentrer à Milan, “c’est une perte importante, on sait à quel point il est fort et on mesure ce qu’il a fait dans cette compétition, a souligné Marchisio. “Il était très navré de partir, il voulait vraiment jouer contre l’Espagne, mais il y aura des joueurs prêts à le remplacer, qui veulent jouer et bien faire”, a dit le milieu.
“Nous progressons et lui aussi, il mûrit, a-t-il poursuivi. Seul devant, il s’est beaucoup battu, seul contre la défense, mais il a quand même fait la différence, comme contre le Mexique. Avec le temps, il mûrit et s’améliore.”
A propos des Espagnols, “ce sont les plus forts, a lancé Marchisio. Ce sont les champions, ils ont tout gagné, mais on ne va pas jouer pour perdre. On veut jouer le coup à fond. On a joué la finale de l’Euro, maintenant nous avons la possibilité d’aller en finale de la Coupe des Confédérations, c’est motivant. Ils ont beaucoup progressé ces dernières années mais nous aussi.”
“On a vu la force de notre groupe, particulièrement contre le Japon où on était mal avant de renverser le résultat (4-3). Contre le Brésil aussi, même si le résultat a été différent (2-4), mais c’était le Brésil chez lui, et on a réussi à lui marquer deux buts. Ce sont des réactions importantes pour nous.”
Comment faire obstacle à Xavi et Iniesta? “Bonne question!, a répondu Marchisio. Ce sont les meilleurs du monde à leur poste. La force de l’Espagne vient de leur jeu, de leur très grande expérience. L’Espagne a peu changé, on connaît parfaitement leur jeu, c’est désormais une école espagnole qui va se poursuivre à l’avenir. Nous savons que la force de l’Espagne réside surtout dans la possession de balle, et c’est là-dessus que nous avons travaillé ces derniers jours.”