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Engagée dans le développement durable, LYDEC inscrit également son programme de sensibilisation dans le cadre du plan national d’économie d’énergie.
Au-delà des actions menées sur le plan technique ou auprès de sa clientèle, l’entreprise a choisi aussi l’art comme vecteur de sensibilisation, en organisant du 18 décembre 2008 au 28 février 2009, une exposition intitulée « ElectriCITE » à l’Espace LYDEC.
Depuis deux siècles, l’électricité n’a cessé de transformer notre vision du monde et de la ville, de redéfinir nos modes de vie au quotidien et de façonner le devenir de l’humanité. Au fur et à mesure, s’est construite une relation organique entre l’électricité et la cité qui est une des conditions de son existence. Cette dépendance est illustrée par l‘œuvre « ElectriCITE », qui consiste en une ville miniature construite à base d accessoires lumineux. Synonyme de progrès et de prospérité, l’électricité est aujourd’hui victime de son succès, victime de comportements de plus en plus énergétivores, avec pour corollaire un risque pour la pérennité de la croissance économique et en termes écologiques. Comment faire prendre conscience à chacun des impacts liés à ses choix lorsqu il s’équipe ? Comment peut-il visualiser de façon concrète qu une différence entre puissance, entre équipement, entre durée de consommation a certes, une conséquence sur sa facture, mais aussi de façon conjoncturelle, sur l’offre nationale disponible ? Comment amener chacun à opter pour un comportement plus économe, si l’électricité est impalpable ? A ces questions, l’exposition répond à travers plusieurs installations réalisées par l’écrivain et artiste Youssouf Amine Elalamy pour le compte de LYDEC. La thématique de la sécurité occupe également une place de choix dans l’exposition en parfait accord avec l’importance que lui accorde LYDEC dans son action quotidienne. Première entreprise à être certifiée pour les travaux sous tension, LYDEC veille également au respect par son personnel et celui de ses prestataires des consignes de sécurité. L’exposition est ouverte au public du 18 décembre au 28 février 2009 à l’Espace LYDEC du lundi au samedi - 48, rue Mohamed Diouri - Casablanca. Avec l’exposition “électriCITE”, LYDEC vous invite à mieux préserver cette ressource et à en faire un usage qui tienne compte des réalités économiques et écologiques. Découvrez quelques unes des oeuvres exposées «électriCITÉ », 2008. Lampes, néons, fusibles et circuits électriques, plexiglas. Cette œuvre qui a donné son nom à l’exposition, utilise l’immense potentiel esthétique, graphique et architectural des accessoires lumineux pour édifier une ville miniature avec ses artères, ses maisons, ses buildings. L’électricité se confond avec la ville moderne qu’elle rend visible, voire possible. Elle est le matériau essentiel, la condition même, souvent implicite, de la prospérité, de la sécurité et de l’existence de la ville d’aujourd’hui. « électriCUBE », 2008. Appareils électriques divers, bois, plexiglas. Dans cette œuvre technologique en forme de dé géant en mouvement, les faisceaux lumineux qui apparaissent ici et là contrastent avec la dominante noire de l’objet, rappelant ainsi au visiteur les conditions d’apparition et de perception de la lumière artificielle. L’électriCUBE représente à lui seul la présence massive de l’électricité dans notre quotidien ainsi que son inexorable expansion. « électriCAR », 2008. Matériaux électriques : tourets, câblages, compteurs, lampes, transformateurs, isolateurs, fusibles, prises, câbles de moyenne tension, etc. Construite exclusivement à base de matériaux électriques divers, l’œuvre « ElectriCAR » met en avant les bienfaits de la voiture électrique. Tout en exploitant les effets spectaculaires de certains matériaux, notre voiture prend l’allure d’un jouet géant dont les roues, la cabine et le châssis en bois, empruntés aux tourets de câblages, rappellent cette composante essentielle de la voiture électrique, à savoir le respect de l’environnement. « Mr. Candélabre », 2008. Candélabre, lampes, touret, mannequin, album BD. Cette œuvre imaginaire est un hommage à l’éclairage public. Construite à partir d’un candélabre de taille réelle, cette installation artistique est un clin d’œil aux 95000 points lumineux qui nous éclairent la nuit à Casablanca et contribuent à la sécurité dans la cité. Le blanc immaculé de cette œuvre lui confère une présence magique qui n’est pas sans rappeler la magie de la lumière.