-
Mondial 2024 de futsal: La confiance en soi et la discipline, clé de la victoire
-
Hicham Dguig : Une victoire importante face à une équipe aguerrie
-
La belle campagne de la sélection marocaine se poursuit au Mondial de futsal
-
Lerina Bright : Le Maroc assume un rôle majeur dans la sécurisation des événements sportifs à l’échelle mondiale
-
La caravane nationale "Sport sans dopage" fait escale à Ifrane
En avril, la Fifa a infligé au Barça une interdiction de recrutement pour deux mercatos successifs, décision confirmée en appel en août mais contre laquelle le club a déposé un ultime recours devant le TAS.
Les dirigeants catalans ont présenté vendredi leur défense devant l'instance de Lausanne, qui a mis sa décision en délibéré et devrait se prononcer "avant la fin de l'année, probablement autour de Noël", selon une source proche du dossier.
Comme on lui demandait samedi en conférence de presse si le club pourrait résister sportivement à une telle interdiction, Luis Enrique a répondu par l'affirmative: "Oui, en termes de niveau de nos joueurs, oui".
"De fait, le club a des difficultés lorsqu'il veut recruter des joueurs meilleurs que ceux que nous avons, parce qu'il faut viser des joueurs du Real Madrid ou d'une autre équipe de notre niveau, a-t-il expliqué. Bien sûr que le club pourrait le supporter, pourquoi pas?"
La Fifa, dont la décision avait fait l'effet d'une bombe au printemps, reproche au Barça le recrutement de plusieurs mineurs, dont les transferts sont en principe interdits sauf trois cas de figure spécifiques.
Barcelone a reconnu des "erreurs administratives" mais s'est défendu en mettant en avant la qualité de ses programmes éducatifs et de son centre de formation, la "Masia", mondialement reconnu et dont sont issus des grands noms comme Lionel Messi, Xavi ou Andres Iniesta.
Profitant de l'effet suspensif appliqué à sa procédure d'appel, le Barça a néanmoins dépensé plus de 150 millions d'euros sur le marché des transferts cet été en prévision d'une éventuelle sanction.
Dans ce contexte, Luis Enrique a refusé de se prononcer sur le cas du latéral Martin Montoya, en manque de temps de jeu mais dont les possibles envies de départ pourraient être contrariées en cas d'interdiction de recrutement: "Nous allons attendre 15 jours pour connaître la décision du TAS et nous déterminerons une position".