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L'attaquant international espagnol de l'Athletic Bilbao Fernando Llorente a confirmé mardi qu'il ne renouvellerait pas son contrat avec le club basque, qui arrive à échéance à la fin de la saison.
Interrogé en conférence de presse sur un éventuel départ à la fin de la saison, l'avant-centre de 27 ans a simplement répondu: "Oui", confirmant ainsi une décision qu'il avait déjà rendue publique en début de saison.
"Ce n'est pas une question d'argent. L'offre que l'Athletic m'avait fait cet été ne pouvait être refusée. C'est plutôt la presse qui ne m'a pas aidé. Ils ont généré une mauvaise ambiance qui m'a incité à prendre cette décision de ne pas renouveler, avec un ensemble d'autres choses", a expliqué Llorente.
Avant de détailler: "La presse m'a incité à partir en sortant beaucoup de choses sur moi, la plupart des mensonges. Cela a fait pencher la balance contre moi. Lorsque j'entrais dans le stade, j'étais sifflé. Pourtant, je me sens soutenu par l'essentiel des supporteurs, mais une partie ne m'aime pas. Je le respecte."
L'international espagnol a en revanche assuré ne pas chercher à vouloir partir plus tôt que le 30 juin, date à laquelle son contrat arrive à échéance.
"Je ne pense à rien d'autre qui ne soit pas aider mon club du mieux possible jusqu'au 30 juin prochain", a assuré Llorente, interrogé sur ses intentions durant le mercato d'hiver.
Enfin, l'Espagnol a aussi affirmé qu'il ne se sentait en rien victime d'un chantage de la part de l'Athletic Bilbao, comme l'avait affirmé la semaine dernière le syndicat mondial des footballeurs professionnels FIFPro qui avait cité Llorente pour évoquer le cas d'un footballeur souhaitant s'en aller et qui subirait les représailles d'un club qui cesserait de le titulariser.
"Je ne me sens en rien victime d'un chantage de l'Athletic, comme j'ai pu l'entendre", a assuré Llorente.
Interrogé en conférence de presse sur un éventuel départ à la fin de la saison, l'avant-centre de 27 ans a simplement répondu: "Oui", confirmant ainsi une décision qu'il avait déjà rendue publique en début de saison.
"Ce n'est pas une question d'argent. L'offre que l'Athletic m'avait fait cet été ne pouvait être refusée. C'est plutôt la presse qui ne m'a pas aidé. Ils ont généré une mauvaise ambiance qui m'a incité à prendre cette décision de ne pas renouveler, avec un ensemble d'autres choses", a expliqué Llorente.
Avant de détailler: "La presse m'a incité à partir en sortant beaucoup de choses sur moi, la plupart des mensonges. Cela a fait pencher la balance contre moi. Lorsque j'entrais dans le stade, j'étais sifflé. Pourtant, je me sens soutenu par l'essentiel des supporteurs, mais une partie ne m'aime pas. Je le respecte."
L'international espagnol a en revanche assuré ne pas chercher à vouloir partir plus tôt que le 30 juin, date à laquelle son contrat arrive à échéance.
"Je ne pense à rien d'autre qui ne soit pas aider mon club du mieux possible jusqu'au 30 juin prochain", a assuré Llorente, interrogé sur ses intentions durant le mercato d'hiver.
Enfin, l'Espagnol a aussi affirmé qu'il ne se sentait en rien victime d'un chantage de la part de l'Athletic Bilbao, comme l'avait affirmé la semaine dernière le syndicat mondial des footballeurs professionnels FIFPro qui avait cité Llorente pour évoquer le cas d'un footballeur souhaitant s'en aller et qui subirait les représailles d'un club qui cesserait de le titulariser.
"Je ne me sens en rien victime d'un chantage de l'Athletic, comme j'ai pu l'entendre", a assuré Llorente.
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