-
Divorcée depuis 10 ans, elle est contrainte de rembourser 600.000 euros de dettes de son ex-mari
-
Il installe un manège dans son jardin pour ses petits-enfants, mais ça pourrait lui coûter cher
-
Aux Etats-Unis, les adeptes du télétravail ne veulent pas revenir en arrière
-
Un entrepreneur américain coincé dans un robot-taxi qui se met à tourner en rond
-
Un restaurant anglais relance les hostilités contre la pizza à l'ananas
La juge Stephanie Sautner a considéré que la jeune femme de 24 ans, dont on ne compte plus les apparitions devant la justice, n'avait pas violé les termes de sa liberté conditionnelle, décidée en avril après un vol dans une bijouterie de Los Angeles.
"Vous n'êtes pas coupable de violation de votre liberté conditionnelle. Vous êtes coupable de n'avoir fait preuve d'aucun jugement", a déclaré la juge, faisant référence à l'organisation, par Lindsay Lohan -- actuellement en résidence surveillée -- d'un barbecue très arrosé sur la terrasse de sa maison.
"L'assignation à résidence est censée s'apparenter à la prison", a-t-elle rappelé.
"Je vous ordonne de ne plus organiser de fêtes. Vous pourrez accueillir chez vous un ami à la fois et un membre de votre famille. Et arrêtez les barbecues sur votre terrasse, pour éviter que vos voisins se mettent tous à écrire à vos contrôleurs judiciaires", a-t-elle ironisé.
Lindsay Lohan doit porter un bracelet électronique dans le cadre d'une condamnation pour le vol d'un collier d'une valeur de 2.500 dollars, en janvier dans le quartier de Venice, à l'ouest de Los Angeles.
Ce vol constituait déjà une violation de liberté conditionnelle dans une affaire de conduite en état d'ivresse et de possession de drogue, en 2007.
Lindsay Lohan, vue au cinéma dans "The Last Show" ou "La coccinelle revient", est une ancienne star des studios Disney. Ses frasques lui ont valu de nombreuses cures de désintoxication et plusieurs séjours en prison.