A 18 ans passés, Lina Bennani n'est pas sans nous rappeler la petite môme de 4 ans, accrochée vaillamment à sa raquette et qui devait se mettre sur les orteils voire bondir pour arriver à hauteur du filet. Elle a bien sûr grandi depuis, son tennis a, bien évidemment, et au prix de moult sacrifices, de milliers d'heures d'entraînement, de voyages, périples et expatriation, évolué pour qu'elle mérite la place qui est aujourd'hui la sienne. Mais après toutes ces années passées, c'est toujours la même passion pour la petite balle jaune, la même détermination et la même rage de vaincre. Au fil des années, son tennis a gagné en grâce et en efficacité. Normal donc qu'elle ait gravi les échelons pour s'imposer en vice-championne du Maroc, en vice-championne ou en championne d'Afrique. Avec l'ambition et la volonté qui sont les siennes, elle est appelée, à coup sûr, à poursuivre son ascension. Ce qui ne saurait pas sans combler ses parents, ses frères, ses connaissances et ses amis, ses nombreux fans, mais aussi son partenaire inspiré Suzuki Motors dont l'apport contribue à lui permettre de partir à la conquête de nombreux tournois et rencontres à travers le monde. Avant le championnat d'Afrique qui vient de se dérouler à Tripoli, en Libye, elle était partie affûter ses armes en Espagne à Lerida et Séville, en Algérie, en Italie au tournoi de Todi-Ponte Rio, en Belgique, à Westende, à Venise en Italie et à Madrid.
En Espagne donc, un pays qui a un attrait particulier pour elle. C'est plutôt Barcelone où elle avait résidé en vue de parfaire son tennis. Notre championne Lina se trouve d'ailleurs comblée par les parcours époustouflants du Barça en aspirant à ce qu'il en soit de même pour le Raja. C'est, en effet, une inconditionnelle de ces deux clubs, avec bien sûr le RUC où elle a fait ses premières armes, où elle s'est épanouie et le COC, le club qui l'a accueillie à bras ouverts pour que se poursuive la belle épopée de celle que l'on surnommait avec affection la petite hirondelle du RUC. Lina Bennani est, toujours, la petite hirondelle que l'on a connue, mais c'est désormais une valeur sûre du tennis national.
En Espagne donc, un pays qui a un attrait particulier pour elle. C'est plutôt Barcelone où elle avait résidé en vue de parfaire son tennis. Notre championne Lina se trouve d'ailleurs comblée par les parcours époustouflants du Barça en aspirant à ce qu'il en soit de même pour le Raja. C'est, en effet, une inconditionnelle de ces deux clubs, avec bien sûr le RUC où elle a fait ses premières armes, où elle s'est épanouie et le COC, le club qui l'a accueillie à bras ouverts pour que se poursuive la belle épopée de celle que l'on surnommait avec affection la petite hirondelle du RUC. Lina Bennani est, toujours, la petite hirondelle que l'on a connue, mais c'est désormais une valeur sûre du tennis national.
Tirage au sort de la CAN Maroc-2025
