Inévitable Vinicius! L'attaquant star du Real Madrid a permis mardi à son équipe d'arracher un nul généreux (2-2) en demi-finale de la Ligue des champions face au Bayern Munich avec un nouveau doublé, confirmant son statut d'homme des grands rendez-vous.
Trois tirs, deux cadrés, deux buts.
Contre le cours du jeu, c'est une nouvelle fois des pieds dansants de l'ailier brésilien, auteur d'un doublé clinique, qu'est venue la délivrance madrilène à la 83e minute (2-2) sur un penalty qu'il a en partie provoqué en rentrant combiner avec son compère Rodrygo, fauché dans la surface par le défenseur bavarois Kim Min-Jae.
En première mi-temps, déjà, le Coréen avait mordu volontiers dans l'appel-contre appel de "Vini", qui s'est échappé dans son dos pour aller ouvrir le score en trompant Manuel Neuer du plat du pied droit sur un service cinq étoiles de Toni Kroos (24e).
Avec ces deux réalisations, les quatrième et cinquième de la saison en C1, Vinicius possède désormais des statistiques affolantes avec 21 buts et 11 passes décisives en 38 matchs toutes compétitions confondues.
La plupart ayant été marqués dans des rencontres à fort enjeu, comme en huitièmes de finale (but de la qualification au retour contre Leipzig), en quarts (deux passes décisives dans le 3-3 contre Manchester City) ou lors des deux derniers Clasico contre le Barça (4-1, triplé, 2-1, buteur).
Après un début de saison en dents de scie, compliqué par des pépins physiques, le feu follet de 23 ans a fini par s'adapter au nouveau système en 4-4-2 losange de Carlo Ancelotti, dans lequel il a un rôle plus axial et donne le tournis aux défenses averses aux côtés de Rodrygo.
Et il est redevenu le danger N.1 de l'attaque madrilène, capable de changer le cours d'un match à lui tout seul avec sa vitesse, ses dribbles renversants et son efficacité devant le but.
"Quand il est comme ça, c'est le meilleur joueur du monde. (...) Il fait la différence", l'avait encensé son entraîneur après un match exceptionnel contre Gérone.
Maladroit à son arrivée dans la capitale espagnole en 2018, ce qui lui avait valu des remarques de Karim Benzema, le N.7 merengue est depuis devenu un redoutable finisseur, capable de frapper n'importe quand - mais surtout lorsque son équipe a le plus besoin de lui.
C'est ce qu'il a encore fait mardi, pour rapprocher le Real d'une quinzième Ligue des champions avant le match retour au Bernabéu.
"A chaque fois qu'on donne le Real Madrid pour mort, on trouve toujours le moyen de revenir" résumait "Vini" après la qualification du Real au bout de la nuit et de la séance de tirs au but contre Manchester City.
Oui, le club merengue est encore en vie, et c'est encore grâce à lui.
Trois tirs, deux cadrés, deux buts.
Contre le cours du jeu, c'est une nouvelle fois des pieds dansants de l'ailier brésilien, auteur d'un doublé clinique, qu'est venue la délivrance madrilène à la 83e minute (2-2) sur un penalty qu'il a en partie provoqué en rentrant combiner avec son compère Rodrygo, fauché dans la surface par le défenseur bavarois Kim Min-Jae.
En première mi-temps, déjà, le Coréen avait mordu volontiers dans l'appel-contre appel de "Vini", qui s'est échappé dans son dos pour aller ouvrir le score en trompant Manuel Neuer du plat du pied droit sur un service cinq étoiles de Toni Kroos (24e).
Avec ces deux réalisations, les quatrième et cinquième de la saison en C1, Vinicius possède désormais des statistiques affolantes avec 21 buts et 11 passes décisives en 38 matchs toutes compétitions confondues.
La plupart ayant été marqués dans des rencontres à fort enjeu, comme en huitièmes de finale (but de la qualification au retour contre Leipzig), en quarts (deux passes décisives dans le 3-3 contre Manchester City) ou lors des deux derniers Clasico contre le Barça (4-1, triplé, 2-1, buteur).
Après un début de saison en dents de scie, compliqué par des pépins physiques, le feu follet de 23 ans a fini par s'adapter au nouveau système en 4-4-2 losange de Carlo Ancelotti, dans lequel il a un rôle plus axial et donne le tournis aux défenses averses aux côtés de Rodrygo.
Et il est redevenu le danger N.1 de l'attaque madrilène, capable de changer le cours d'un match à lui tout seul avec sa vitesse, ses dribbles renversants et son efficacité devant le but.
"Quand il est comme ça, c'est le meilleur joueur du monde. (...) Il fait la différence", l'avait encensé son entraîneur après un match exceptionnel contre Gérone.
Maladroit à son arrivée dans la capitale espagnole en 2018, ce qui lui avait valu des remarques de Karim Benzema, le N.7 merengue est depuis devenu un redoutable finisseur, capable de frapper n'importe quand - mais surtout lorsque son équipe a le plus besoin de lui.
C'est ce qu'il a encore fait mardi, pour rapprocher le Real d'une quinzième Ligue des champions avant le match retour au Bernabéu.
"A chaque fois qu'on donne le Real Madrid pour mort, on trouve toujours le moyen de revenir" résumait "Vini" après la qualification du Real au bout de la nuit et de la séance de tirs au but contre Manchester City.
Oui, le club merengue est encore en vie, et c'est encore grâce à lui.