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Dans un match équilibré en première période, mais clairement à l’avantage du Real ensuite, les Merengue auront su tirer leur épingle du jeu grâce à un coup franc de 25 mètres magistralement exécuté par Ronaldo (15) avant de creuser l’écart par Özil (66).
Les hommes de Mourinho, dans une situation délicate avant ce match, s’évitent ainsi une crise qui aurait été garantie en cas de défaite.
Ronaldo, qui était resté muet depuis la victoire des Madrilènes sur le terrain de Levante (2-1) a été l’un des seuls vrais animateurs- avec Benzema- d’un derby crispé.
Après avoir ouvert le score, le Portugais aurait même pu faire coup double sur un nouveau coup franc (75) ou sur un contre mené tambour battant (78), mais par deux fois il trouvait les montants.
A défaut, l’ailier du Real se muait ensuite en passeur décisif, offrant à Özil l’occasion de mettre le Real à l’abri. L’Allemand ne laissait pas passer sa chance d’une belle volée du gauche (66).
Quant aux joueurs de l’Athletico, ils ne seront jamais vraiment parvenus à développer leur jeu face à un pressing élevé du Real au milieu, Falcao étant par ailleurs bien muselé par Sergio Ramos.
La seule véritable occasion du +Tigre+ était ainsi une tête au premier poteau sur un centre venu de la droite, toutefois bien détournée par Casillas (13).
Quant au FC Barcelone, il a balayé (5-1) l’Athletic Bilbao.Grâce à cette 13e victoire de la saison (et un match nul), les Barcelonais ont signé le meilleur début de saison de l’histoire de la Liga, dépassant le record du Real Madrid de Radomir Antic qui, en 1991-1992, avait obtenu 12 victoires, un nul et une défaite.
Samedi, les hommes de Marcelo Bielsa, entrés sur le terrain avec les meilleures intentions, n’auront résisté que 20 minutes au jeu de combinaisons extrêmement rapide des Barcelonais.
Une fois n’est pas coutume, les Catalans ouvraient le score à l’issue d’un corner, sur lequel Iraizoz, le gardien de l’Athletic, renvoyait bien une première frappe sèche de Fabregas. Mais le rebond profitait à Piqué qui ajustait tranquillement le portier basque (22).
A peine trois minutes plus tard, Xavi lançait magnifiquement Messi en profondeur. L’Argentin effaçait Iraizoz d’une de ses fameuses balles piquées et Amorebieta ne pouvait que prolonger le ballon dans ses propres filets (25).
Dans un match à sens unique, Adriano, qui évoluait samedi comme arrière droit à la place d’Alves, blessé, profitait d’un très bon service de Fabregas pour alourdir encore le score (45). Après la pause, les Catalans ne relâchaient pas leur effort. Fabregas, très en jambes samedi, y allait lui aussi de son but (56). Et, après qu’Ibai Gomez eut tout de même sauvé l’honneur, Messi, qui avait déjà trouvé la barre en première période, se rapprochait encore du record de 85 buts marqués en une année de Gerd Müller.
“La Pulga”, sorti comme un diable de sa boîte pour transformer en but un ballon perdu par Jordi Alba (70), compte désormais 83 réalisations en 2012.