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La première édition du Festival "Arouah Ghiwania" a débuté dimanche soir au théâtre Saïd Afifi à El Jadida, avec au programme des concerts de musique populaire jusqu’au 30 novembre courant.
Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la communication, en partenariat avec le Conseil de la région de Casablanca-Settat, ce festival itinérant se déroule à la fois à El Jadida, Aïn Harrouda et Casablanca.
Rendant hommage à la mythique troupe Nass Al Ghiwane, le festival propose une série de spectacles célébrant ce genre musical profondément ancré dans la culture marocaine. La soirée d’ouverture a remarquablement captivé le public avec des prestations vibrantes des groupes "Mesnawa" et "Derhem", du maître gnaoui Bakbou et de l’artiste Nabil Khalidi.
Dans une déclaration à la MAP, Hicham Bahloul, directeur du Théâtre Saïd Afifi, a affirmé que ce festival cherche à apporter sa modeste contribution en faveur de la préservation de ce patrimoine musical typiquement marocain.
"Le phénomène Ghiwani, vecteur de réflexions sociales et spirituelles, nous interpelle tous. Nous comptons sur notre jeunesse pour assurer sa durabilité dans le temps, d’une génération à l’autre", a-t-il dit avant d’ajouter ‘’qu’il s'agit là d'une célébration unique de l’âme musicale marocaine, entre mémoire collective et créativité renouvelée’’.
Mohamed Derham, membre fondateur de la troupe Jil Jilala, a, quant à lui, salué l’organisation de ce festival exclusivement réservé à cette musique populaire.
"Dans un pays aussi riche culturellement que le Maroc, où plus de 150 rythmes coexistent, ce festival est une occasion propice à la promotion de cet héritage musical ainsi que sa transmission aux générations futures", a-t-il confié à la MAP.
Pour sa part, Abdelfattah Derrazi, membre du groupe Mesnawa, a mis l’accent sur la portée sociale et la charge culturelle des messages contenus dans les chansons de Nass Al Ghiwane, insistant lui aussi sur l’importance de mieux faire connaître ce genre musical auprès des nouvelles générations afin qu’elles s’en inspirent et le perpétuent.
Inscrit dans le cadre du Plan de développement régional (PDR 2022-2027), ce festival s’aligne sur les objectifs stratégiques de diversification et d’enrichissement de l’offre culturelle dans la région de Casablanca-Settat, apprend-on auprès des organisateurs.
Organisé parallèlement aux festivités de la Fête de l’Indépendance, il met en lumière l’importance de la musique Ghiwanie dans l’identité marocaine tout en explorant son renouveau face aux courants musicaux contemporains.
Organisé par le ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la communication, en partenariat avec le Conseil de la région de Casablanca-Settat, ce festival itinérant se déroule à la fois à El Jadida, Aïn Harrouda et Casablanca.
Rendant hommage à la mythique troupe Nass Al Ghiwane, le festival propose une série de spectacles célébrant ce genre musical profondément ancré dans la culture marocaine. La soirée d’ouverture a remarquablement captivé le public avec des prestations vibrantes des groupes "Mesnawa" et "Derhem", du maître gnaoui Bakbou et de l’artiste Nabil Khalidi.
Dans une déclaration à la MAP, Hicham Bahloul, directeur du Théâtre Saïd Afifi, a affirmé que ce festival cherche à apporter sa modeste contribution en faveur de la préservation de ce patrimoine musical typiquement marocain.
"Le phénomène Ghiwani, vecteur de réflexions sociales et spirituelles, nous interpelle tous. Nous comptons sur notre jeunesse pour assurer sa durabilité dans le temps, d’une génération à l’autre", a-t-il dit avant d’ajouter ‘’qu’il s'agit là d'une célébration unique de l’âme musicale marocaine, entre mémoire collective et créativité renouvelée’’.
Mohamed Derham, membre fondateur de la troupe Jil Jilala, a, quant à lui, salué l’organisation de ce festival exclusivement réservé à cette musique populaire.
"Dans un pays aussi riche culturellement que le Maroc, où plus de 150 rythmes coexistent, ce festival est une occasion propice à la promotion de cet héritage musical ainsi que sa transmission aux générations futures", a-t-il confié à la MAP.
Pour sa part, Abdelfattah Derrazi, membre du groupe Mesnawa, a mis l’accent sur la portée sociale et la charge culturelle des messages contenus dans les chansons de Nass Al Ghiwane, insistant lui aussi sur l’importance de mieux faire connaître ce genre musical auprès des nouvelles générations afin qu’elles s’en inspirent et le perpétuent.
Inscrit dans le cadre du Plan de développement régional (PDR 2022-2027), ce festival s’aligne sur les objectifs stratégiques de diversification et d’enrichissement de l’offre culturelle dans la région de Casablanca-Settat, apprend-on auprès des organisateurs.
Organisé parallèlement aux festivités de la Fête de l’Indépendance, il met en lumière l’importance de la musique Ghiwanie dans l’identité marocaine tout en explorant son renouveau face aux courants musicaux contemporains.