Le rideau a été levé, jeudi soir à El Jadida, sur la 13ème édition des Journées Cinématographiques des Doukkala, braquant les projecteurs, cette année, sur la thématique "Cinéma et Enfance".
L'édition 2024 de ce festival, devenu un rendez-vous incontournable pour les cinéphiles, invite à un périple captivant à travers une sélection d'œuvres marocaines, tunisiennes et françaises offrant une immersion dans le monde de l'enfance sous le prisme du 7ème art.
La soirée d'ouverture a été marquée avec un hommage spectaculaire rendu au cinéaste Rabie Kati, invité d’honneur du festival. Figure emblématique du septième art marocain, Kati a marqué de son empreinte tant le grand que le petit écran. Son entrée au théâtre Afifi, monté à cheval et vêtu du traditionnel habit marocain, et entouré de cavaliers, a captivé l'assistance.
Ému, l'acteur a confié : "C'est un moment inoubliable, mémorable et plein d'émotions", en recevant un trophée des mains d'Abdelilah Nafis, directeur provincial de la Culture à El Jadida-Sidi Bennour.
Les Journées cinématographiques des Doukkala, organisées par l’Association Breija des arts et cultures, en collaboration avec la préfecture d'El Jadida, le Centre Cinématographique Marocain (CCM) et l'Institut Français d'El Jadida, proposent jusqu'au 13 octobre une sélection éclectique de films explorant l'univers de l'enfance.
Parmi les œuvres phares, on retrouve des productions marocaines telles que "Été 55" et "Ali ya Ali" d'Abdelhaï Laraki, "L'Enfance violée" de Hakim Nouri, "Ahmed Gassiaux" d'Ismaël Saïdi et "Majid" de Nassim Abassi. La Tunisie est représentée par "Gadha" et "Souliers de l’Aïd" d'Anis Lassoued, tandis que la France participe à la programmation avec "Mystère" de Denis Imbert et "Sirocco et le royaume des courants d'air" de Benoît Chieux.
"Ces films nous plongent dans les récits de l'enfance avec des protagonistes enfants, offrant autant de regards sensibles sur cette étape charnière de la vie", a souligné, à cette occasion, Khalid Khoudari, président de l’Association Breija des arts et cultures et directeur du festival.
Au-delà des projections, le festival propose un programme académique riche en conférences thématiques. Aziz Satori, scénariste et chercheur, intervient sur "Le Cinéma marocain et l'enfance", tandis qu'Anis Lassoued aborde "Le cinéma tunisien et l'enfance". Dr. Lahbib Nasri explore quant à lui "Les défis de l'écriture de scénarios dans le cinéma marocain".
A noter que deux autres figures du cinéma marocain seront également mises à l'honneur : L’actrice Zhour Slimani, et le producteur Bouchta Brahimi.
Cette 13ème édition des Journées cinématographiques des Doukkala promet ainsi d'être un voyage enchanteur au cœur de l'univers de l'enfance, tout en célébrant des talents qui font vibrer le cinéma marocain et international.
L'édition 2024 de ce festival, devenu un rendez-vous incontournable pour les cinéphiles, invite à un périple captivant à travers une sélection d'œuvres marocaines, tunisiennes et françaises offrant une immersion dans le monde de l'enfance sous le prisme du 7ème art.
La soirée d'ouverture a été marquée avec un hommage spectaculaire rendu au cinéaste Rabie Kati, invité d’honneur du festival. Figure emblématique du septième art marocain, Kati a marqué de son empreinte tant le grand que le petit écran. Son entrée au théâtre Afifi, monté à cheval et vêtu du traditionnel habit marocain, et entouré de cavaliers, a captivé l'assistance.
Ému, l'acteur a confié : "C'est un moment inoubliable, mémorable et plein d'émotions", en recevant un trophée des mains d'Abdelilah Nafis, directeur provincial de la Culture à El Jadida-Sidi Bennour.
Les Journées cinématographiques des Doukkala, organisées par l’Association Breija des arts et cultures, en collaboration avec la préfecture d'El Jadida, le Centre Cinématographique Marocain (CCM) et l'Institut Français d'El Jadida, proposent jusqu'au 13 octobre une sélection éclectique de films explorant l'univers de l'enfance.
Parmi les œuvres phares, on retrouve des productions marocaines telles que "Été 55" et "Ali ya Ali" d'Abdelhaï Laraki, "L'Enfance violée" de Hakim Nouri, "Ahmed Gassiaux" d'Ismaël Saïdi et "Majid" de Nassim Abassi. La Tunisie est représentée par "Gadha" et "Souliers de l’Aïd" d'Anis Lassoued, tandis que la France participe à la programmation avec "Mystère" de Denis Imbert et "Sirocco et le royaume des courants d'air" de Benoît Chieux.
"Ces films nous plongent dans les récits de l'enfance avec des protagonistes enfants, offrant autant de regards sensibles sur cette étape charnière de la vie", a souligné, à cette occasion, Khalid Khoudari, président de l’Association Breija des arts et cultures et directeur du festival.
Au-delà des projections, le festival propose un programme académique riche en conférences thématiques. Aziz Satori, scénariste et chercheur, intervient sur "Le Cinéma marocain et l'enfance", tandis qu'Anis Lassoued aborde "Le cinéma tunisien et l'enfance". Dr. Lahbib Nasri explore quant à lui "Les défis de l'écriture de scénarios dans le cinéma marocain".
A noter que deux autres figures du cinéma marocain seront également mises à l'honneur : L’actrice Zhour Slimani, et le producteur Bouchta Brahimi.
Cette 13ème édition des Journées cinématographiques des Doukkala promet ainsi d'être un voyage enchanteur au cœur de l'univers de l'enfance, tout en célébrant des talents qui font vibrer le cinéma marocain et international.