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Le premier film du jeune réalisateur, produit en 2012 et sorti en salles au Maroc en mars dernier, est en lice pour le “Lion d’or” aux côtés de douze autres fictions représentant plusieurs pays arabes.
L’histoire de cette fiction (88 mn), bien accueillie par la critique cinématographique, tourne autour de trois jeunes extrémistes qui kidnappent les membres d’une troupe de théâtre, en route pour leur première représentation, d’après le synopsis.
Retenus en otage, les acteurs comprennent que leur sort ne tient qu’à un fil: Le signal du Cheikh qui viendra confirmer leur mise à mort. En attendant ce fameux coup de fil, sept jours en tout, coupés du monde, otages et ravisseurs, forcés de cohabiter, sont amenés à remettre en question leurs positions et préjugés mutuels.
Cette fiction a déjà remporté le “Prix de la première œuvre” du Festival national du film à Tanger et le prix Naguib Mahfoud pour le meilleur film arabe au 35ème Festival du film international du Caire en 2012.
Dans la catégorie “courts-métrages”, le cinéma marocain sera représenté par le film “Alwan assamt” (Les couleurs du silence) d’Asmaa El Moudir, qui vient de décrocher le grand prix du 2ème Festival international du court métrage de la station balnéaire d’Oualidia. La 7ème édition a démarré lundi par la projection du premier film de l’Algérie indépendante “Une si jeune paix” de Jacques Charby (1964) et un hommage au réalisateur algérien Ahmed Rachedi, à l’actrice égyptienne Leila Tahe et au comédien syrien Assad Fadha.