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Ce qui est reproché à la direction de la TG est avant tout le refus d’entamer un dialogue sérieux et responsable afin de trouver une solution au problème et d’user de divers moyens de pression et de mise en garde pour essayer de faire avorter ce projet de grève. Ces actions révèlent donc le manque de concordance entre les déclarations modernistes de certains responsables de la Trésorerie générale et leur mentalité archaïque, de même qu’elles donnent une image négative d’une institution qui joue un rôle primordial dans le fonctionnement des finances publiques grâce aux efforts permanents des fonctionnaires de cette administration.
La critique concerne également l’utilisation abusive de l’éditorial du bulletin interne de la Trésorerie générale pour s’attaquer au Syndicat, ce qui démontre le manque de volonté sérieuse pour relever les défis auxquels elle est confrontée et faire face aux mutations que connaît le domaine économique et financier, que ce soit à l’échelle locale ou internationale.
Par ailleurs, la décision du Trésorier général du Royaume de procéder à des retenues sur les primes des fonctionnaires qui ont pris part à la grève du 3 mars, n’a de pareil ni dans la direction du ministère de l’Economie et des Finances ni dans les autres administrations publiques. Ce qui est de nature à nuire au dialogue social au Maroc.