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Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs se sont intéressés à 117 femmes approchant de la ménopause ou qui venaient juste d’entrer dans cette phase. Les participantes prenaient alors part à des tests de mémoire verbale, d’attention ou de traitement d’informations. Parmi ces tests : rester concentrée sur quelque chose pendant une période de temps donnée, apprendre un numéro de téléphone, faire une liste mentale des choses à acheter au supermarché et arriver à se la rappeler…
Les chercheurs se sont alors rendus compte que les femmes tout juste ménopausées avaient plus de mal avec les tests de mémoire verbale que les femmes pas encore ménopausées et celles ménopausées depuis plus de deux ans. Les scientifiques sont également arrivés à la conclusion que des symptômes comme les difficultés à dormir, la dépression et l’anxiété ne prédisaient en rien les problèmes de mémoire.
Les chercheurs estiment que les niveaux d’hormones sont à l’origine de ces pertes de mémoire. Le taux d’œstrogènes, qui diminue au début de l’entrée dans la ménopause, influe énormément sur les parties du cerveau responsables entre autres choses de la mémoire verbale.