Autres articles
-
Pas de lien entre les vaccins et l'autisme
-
La pratique du sport à l'enfance réduit les comportements défiants
-
Quelle est la durée de vie d'une puce IA, la question à plusieurs centaines de milliards
-
Entre 121 et 142 millions de personnes travaillent dans l'économie circulaire à l’échelle mondiale
-
Une influente étude sur le glyphosate retirée après des années d'alertes sur l'implication de Monsanto
Il y a de nombreuses raisons qui motivent les étudiants à tricher mais une toute nouvelle étude semble dire que les élèves sont moins susceptibles ou capables de tricher lorsqu'ils participent à des classes virtuelles.
Les cours en ligne se généralisent de plus en plus et selon certains, cette pratique allait permettre une véritable "explosion" de tricherie. L'argument avancé était que la distance avec le professeur ne pouvait que faciliter les pratiques douteuses. L'étude se nomme "Point, Click and Cheat: Frequency and Type of Academic Dishonesty in the Virtual Classroom" (littéralement : "Pointer, cliquer et tricher : fréquence et type de malhonnêteté académique dans la classe virtuelle). Elle possède encore trop de limitations pour affirmer que la triche est plus répandue dans les classes traditionnelles que dans les classe en ligne mais les premiers résultats semblent aller dans ce sens.
Un sondage auprès des étudiants de l'université de Wichita au Kansas a confirmé cette tendance.
Les cours en ligne se généralisent de plus en plus et selon certains, cette pratique allait permettre une véritable "explosion" de tricherie. L'argument avancé était que la distance avec le professeur ne pouvait que faciliter les pratiques douteuses. L'étude se nomme "Point, Click and Cheat: Frequency and Type of Academic Dishonesty in the Virtual Classroom" (littéralement : "Pointer, cliquer et tricher : fréquence et type de malhonnêteté académique dans la classe virtuelle). Elle possède encore trop de limitations pour affirmer que la triche est plus répandue dans les classes traditionnelles que dans les classe en ligne mais les premiers résultats semblent aller dans ce sens.
Un sondage auprès des étudiants de l'université de Wichita au Kansas a confirmé cette tendance.









Pas de lien entre les vaccins et l'autisme
