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Plusieurs dizaines de ces aminaux, appartenant aux professionnels des randonnées touristiques, longent une large zone de la plage de Mogador à les estivants étouffent à cause des crottes.
« C’est devenu insupportable. Nous sommes devant un réel crime écologique commis au quotidien sans que personne n’y réagisse. La plage est envahie par les professionnels des randonnées qui sèment l’anarchie et polluent le sable. Nous sommes dans l’insécurité et l’insalubrité totale en présence de ce danger public », proteste un estivant marocain résidant en France.
Refusant toujours d’équiper leurs dromadaires et chevaux de sacs à crottins, les professionnels touristiques se donnent toute la liberté sur une large zone de la plage sans se rendre compte de l’anarchie et de la pollution qu’ils causent depuis plusieurs années.
« J’ai failli être renversé, ainsi que mes enfants, par deux chevaux excités. Je me suis retrouvé devant deux jeunes irresponsables qui se sont permis de laisser libres leurs animaux au milieu des estivants qui risquent, désormais, beaucoup. Comme vous pouvez le constater, estivants et chevaux se baignent dans les mêmes eaux et partagent le même sable bourré de crottes», s’indigne le père d’une famille qui a failli être renversé par deux chevaux. Une scène immortalisée par « Libé » qui a aussi constaté la présence de quads conduits dangereusement par des jeunes indifférents à la sécurité des estivants.
« Les quads passent au milieu des estivants sans se soucier des dangers que cela représente. Il n’y a aucune organisation sur cette partie de la plage contrairement aux 800 mètres labélisés Pavillon Bleu », nous a réclamé un estivant indigné par l’anarchie qui règne sur cette partie de la plage d’Essaouira.
Outre les dromadaires, les chevaux et les quads, « Libé » a aussi constaté la présence de chiens dangereux sur plage. A l’instar d’un pitbull lâché par son propriétaire au milieu des estivants sans la moindre précaution.
Les mêmes problèmes sont aussi constatés sur la plage de Sidi Kaouki. Ici, les dromadaires et les chevaux vous accueillent à l’entrée de la plage, mais ce sont plutôt les estivants qui font l’exception.