La troisième édition du Agadir Morocco Triathlon 2013 a été marquée par "une organisation impeccable relevée par un public très hospitalier", a affirmé la présidente de la fédération sud-africaine de triathlon Debbie Alexander.
"Je suis vraiment impressionnée par la qualité de l'organisation, l'hospitalité des gens là où nous nous sommes rendus, la beauté du climat. On fait un travail magnifique ici et on est content d'y prendre part", a affirmé Mme Debbie dans une déclaration à la MAP, en marge de la remise, samedi, des prix de cette 3ème édition du triathlon d'Agadir.
"Je retourne chez moi, en Afrique du Sud, avec un très beau souvenir et je reviendrai certainement pour des vacances privées à Agadir, une belle ville et un peuple hospitalier", a assuré Mme Debbie, également membre du comité exécutif des fédérations internationale et africaine du triathlon.
Sur la domination de bout en bout de l'équipe de son pays lors de cette édition (13 médailles sur 15), la responsable sud-africaine a indiqué que cet exploit, loin d'être un produit du hasard, est le fruit de longues années de dur labeur et d'un travail patient et soutenu à trois niveaux d'intervention.
"Nous avons des programmes académiques nationaux, des programmes similaires à l'échelle des provinces et des programmes à la base. L'objectif est de couvrir l'ensemble du pays par de pareilles initiatives. Nous cherchons à avoir des athlètes dès leur plus bas âge, les tirer vers le haut en leur consacrant des coupes pour les préparer à des compétitions à l'international", a-t-elle dit.
Notant que l'émergence d'un athlète de stature olympique pourrait nécessiter un processus de près d'au moins huit ans de travail assidu, elle a mis l'accent sur l'importance de multiplier les rencontres sportives à l'échelle du continent africain.
Au sujet de la participation des personnes aux besoins spécifiques aux triathlons, elle a appelé l'ensemble des pays africains à encourager ce genre de disciplines paralympiques pour assurer la présence du continent dans les compétitions internationales. Sur l'importance d'associer d'autres catégories de population à ces compétitions dans le cadre de l'"Affirmative Action" (discrimination positive), elle a fait observer que des programmes de base sont initiés dans son pays à ce niveau, précisant que "nous avons un nombre important d'athlètes en herbe qui ne sont pas encore prêts à prendre part à de pareilles compétitions".
Elle a assuré qu'à la base, de jeunes athlètes (8/10 ans), forts dans les courses de longue ou de moyenne distance, sont aussi orientés vers la natation et le cyclisme pour mieux les préparer aux épreuves du triathlon.
Durant cette 3ème édition d'Agadir Morocco Triathlon 2013, qui a prévu la participation de plus de 400 triathlètes professionnels et amateurs, les triathlètes sud-africains ont exercé une nette domination sur toutes les étapes de cette épreuve.
Le triathlète marocain, le Gadiri Younés Kouzkouz a été, lui, sacré champion d'Afrique dans la catégorie des moins de 19 ans après avoir parcouru les trois distances (natation, course à pied et vélo) avec un chrono de 01 :01 :20, devant les deux triathlètes sud-africains Eddie Van Heerden et Gareth Jooste.
"Je suis vraiment impressionnée par la qualité de l'organisation, l'hospitalité des gens là où nous nous sommes rendus, la beauté du climat. On fait un travail magnifique ici et on est content d'y prendre part", a affirmé Mme Debbie dans une déclaration à la MAP, en marge de la remise, samedi, des prix de cette 3ème édition du triathlon d'Agadir.
"Je retourne chez moi, en Afrique du Sud, avec un très beau souvenir et je reviendrai certainement pour des vacances privées à Agadir, une belle ville et un peuple hospitalier", a assuré Mme Debbie, également membre du comité exécutif des fédérations internationale et africaine du triathlon.
Sur la domination de bout en bout de l'équipe de son pays lors de cette édition (13 médailles sur 15), la responsable sud-africaine a indiqué que cet exploit, loin d'être un produit du hasard, est le fruit de longues années de dur labeur et d'un travail patient et soutenu à trois niveaux d'intervention.
"Nous avons des programmes académiques nationaux, des programmes similaires à l'échelle des provinces et des programmes à la base. L'objectif est de couvrir l'ensemble du pays par de pareilles initiatives. Nous cherchons à avoir des athlètes dès leur plus bas âge, les tirer vers le haut en leur consacrant des coupes pour les préparer à des compétitions à l'international", a-t-elle dit.
Notant que l'émergence d'un athlète de stature olympique pourrait nécessiter un processus de près d'au moins huit ans de travail assidu, elle a mis l'accent sur l'importance de multiplier les rencontres sportives à l'échelle du continent africain.
Au sujet de la participation des personnes aux besoins spécifiques aux triathlons, elle a appelé l'ensemble des pays africains à encourager ce genre de disciplines paralympiques pour assurer la présence du continent dans les compétitions internationales. Sur l'importance d'associer d'autres catégories de population à ces compétitions dans le cadre de l'"Affirmative Action" (discrimination positive), elle a fait observer que des programmes de base sont initiés dans son pays à ce niveau, précisant que "nous avons un nombre important d'athlètes en herbe qui ne sont pas encore prêts à prendre part à de pareilles compétitions".
Elle a assuré qu'à la base, de jeunes athlètes (8/10 ans), forts dans les courses de longue ou de moyenne distance, sont aussi orientés vers la natation et le cyclisme pour mieux les préparer aux épreuves du triathlon.
Durant cette 3ème édition d'Agadir Morocco Triathlon 2013, qui a prévu la participation de plus de 400 triathlètes professionnels et amateurs, les triathlètes sud-africains ont exercé une nette domination sur toutes les étapes de cette épreuve.
Le triathlète marocain, le Gadiri Younés Kouzkouz a été, lui, sacré champion d'Afrique dans la catégorie des moins de 19 ans après avoir parcouru les trois distances (natation, course à pied et vélo) avec un chrono de 01 :01 :20, devant les deux triathlètes sud-africains Eddie Van Heerden et Gareth Jooste.
Du bronze servi dans un festival en or
