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En effet, la grande majorité des habitants de ceux-ci, porteurs de la nationalité algérienne, n’attendaient que l’ouverture des bureaux de vote pour se ruer vers les urnes pour voter. Les hauts cadres du Polisario étaient en tête. Ils n’ont jamais raté cette occasion pour exprimer leur appartenance à ce pays et lui faire allégeance.
Cette affluence s’amplifie au fil des années, à mesure que le voisin de l’Est multiplie les naturalisations de la population des camps. Ce fut le cas en 2012, où la participation massive des Sahraouis avait eu un impact direct sur le niveau d’abstention aux législatives algériennes. A titre d’exemple, si le taux de participation officiel sur l'ensemble du territoire algérien était de 42,9%, ce taux dépassait les 83% dans la wilaya de Tindouf, soit presque le double.
De toute évidence, ces chiffres devraient être confirmés de nouveau par les autorités algériennes lors de la proclamation des résultats détaillés des législatives du 4 mai. Tindouf tiendra certainement le haut du pavé.
Si une partie de la population des camps se mobilise pour booster le taux de participation au scrutin en Algérie, d’autres Sahraouis manifestent le même enthousiasme pour la Mauritanie. Ils étaient 6.000 à prendre part aux législatives de 2013, tous détenteurs de la nationalité mauritanienne.
Ces participations ont le mérite de montrer que la population des camps n’est pas uniquement constituée de soi-disant «réfugiés» originaires du Sahara marocain, comme le prétend le Polisario, et expliquent le refus des autorités algériennes d’autoriser les Nations unies à effectuer un recensement de la population des camps.