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Les patients ayant participé à l’étude et pratiquant une activité physique intense ou modérée auraient respectivement 56% et 42% de risques en moins de décéder d’une maladie rénale chronique que les patients touchés par cette maladie et restant inactifs. Lire la suite l’article
Le docteur Srinivasan Beddhu, de l’université de l’Utah, aux Etats-Unis, s’est penché sur la question de savoir si la pratique d’une activité physique pouvait prolonger la vie de patients atteints de maladie rénale chronique.
Il a mené cette étude, accompagné par ses collègues, sur 15.368 adultes, dont près de 6% d’entre eux étaient atteints de maladie rénale chronique.
Après avoir rempli un questionnaire où ils évaluaient leur activité physique, les participants étaient séparés en trois groupes, pratiquant peu ou pas d’activité physique, une activité physique insuffisante, ou intense.
Puis les participants étaient suivis durant une période allant entre sept et neuf ans. Les chercheurs ont alors établi que 28% des personnes ayant des maladies rénales chroniques pratiquaient peu ou pas d’activité, alors que 13,5% des personnes n’ayant pas ce type de pathologies étaient dans ce cas.
Les patients actifs et insuffisamment actifs sur le plan physique auraient respectivement 56% et 42% de risques en moins de décéder durant cette étude que les patients inactifs atteints par une maladie rénale chronique.
Des bénéfices comparables liés à l’activité physique ont été observés chez des personnes ne souffrant pas de maladies rénales.
Le docteur Srinivasan Beddhu, de l’université de l’Utah, aux Etats-Unis, s’est penché sur la question de savoir si la pratique d’une activité physique pouvait prolonger la vie de patients atteints de maladie rénale chronique.
Il a mené cette étude, accompagné par ses collègues, sur 15.368 adultes, dont près de 6% d’entre eux étaient atteints de maladie rénale chronique.
Après avoir rempli un questionnaire où ils évaluaient leur activité physique, les participants étaient séparés en trois groupes, pratiquant peu ou pas d’activité physique, une activité physique insuffisante, ou intense.
Puis les participants étaient suivis durant une période allant entre sept et neuf ans. Les chercheurs ont alors établi que 28% des personnes ayant des maladies rénales chroniques pratiquaient peu ou pas d’activité, alors que 13,5% des personnes n’ayant pas ce type de pathologies étaient dans ce cas.
Les patients actifs et insuffisamment actifs sur le plan physique auraient respectivement 56% et 42% de risques en moins de décéder durant cette étude que les patients inactifs atteints par une maladie rénale chronique.
Des bénéfices comparables liés à l’activité physique ont été observés chez des personnes ne souffrant pas de maladies rénales.