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Encouragés par les succès des éditions précédentes, les organisateurs du portail de recrutement continuent ainsi sur leur lancée. Leurs points de chute concernent les villes de Tanger, Oujda, Fès, Rabat, Casablanca, Marrakech et Agadir. Chacune de ces villes recevra au sein de son université, un jour et demi durant, des spécialistes et des représentants du monde de l'enseignement. L'occasion d'animer des débats sur les thématiques de l'emploi et de son corollaire la formation. Etudiants et entreprises contribueront au rapprochement entre l'Université et le marché de l'emploi. «Ces forums sont des lieux de rencontres, d'échanges d'idées et d'information autour du tryptique Université, entreprise et étudiants», comme l'a affirmé Hicham Lakhmiri, directeur général d'Amal Job. Vu l’importance qu'il revêt, cet événement a recueilli l'adhésion de toutes les composantes de la société. Que ce soit les responsables locaux, les grandes entreprises ou les médias, ils ont tous répondu présent afin de l'appuyer, chacun à son niveau.
Il faut rappeler qu'Amal job, portail e-recrutement au Maroc, n'en est pas à son coup d'essai. Il a fait de la problématique de l'emploi des jeunes son cheval de bataille. En plus de sa vocation initiale comme trait d'union entre les demandeurs d'emploi et les différents recruteurs, le portail compte à son actif d'autres initiatives fort porteuses. Il en est ainsi de l'enquête sur l'emploi de la femme et celle se rapportant à l'insertion professionnelle des jeunes diplômés. Cette dernière a constitué l'événement phare de l'édition emploi des jeunes 2011. L'occasion de mieux sonder les aspirations des jeunes et fixer leurs objectifs. Que ce soit les profils des entreprises démarchées, le montant du premier salaire demandé ou les secteurs les plus ciblés, toutes ces informations ont servi d'indicateurs pour un certain nombre de recommandations. Ces dernières insistent sur l'encadrement des étudiants et de leur rapprochement des entreprises à travers des formations en adéquation avec le monde du travail.
En somme, quels soient les efforts déployés en faveur des jeunes, ils demeureront toujours en deçà de ce qu'ils devraient être. Les diplômés d'aujourd'hui ne sont-ils pas les décideurs de demain ?