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Publication du rapport annuel 2024 de l'Observatoire des délais de paiement
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Bank Al-Maghrib : 20,2 millions de cartes bancaires en circulation en 2023
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Maroc-BAD : 120 M€ pour renforcer la gouvernance et la résilience au changement climatique
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Marché des changes (18-24 juillet) : Le dirham s'apprécie de 0,14% face à l'euro
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Banques et fenêtres participatives : 21,4 MMDH de financements accordés en 2023
C’est encore avec une immense fierté que Saloua Karkri Belkeziz, adminisrateur-directeur général de GFI Maroc, ira prendre part à l’assemblée générale du groupe prévu ce jeudi 19 mai 2010 en France. En effet, GFI Maroc continue à faire la fierté de sa maison-mère en consolidant ses performances commerciales et financières. GFI Maroc réalise ainsi la deuxième meilleure performance du groupe après la filiale canadienne. Elle enregistre dans la foulée la meilleure croissance organique (23%), l’une des deux seules positives du trimestre avec celle de la filiale portugaise (18,6%).
Les performances de GFI Maroc résultent sans aucun doute des premières retombées des récents contrats signés tant au niveau national que régional. Déjà ses brillantes performances 2009 émanaient à 80% de commandes locales, 16% en Afrique Subsaharienne et 2% résultant de la diversification et/ou extension d’activités. En 2009, les commandes locales avaient été, en effet, dopées par la signature de contrats significatifs avec des mastodontes de l’économie nationale et internationale tels que le Groupe OCP, Barid Al Maghreb, Nexans…. Ainsi, l’entreprise avait réalisé en 2009 un chiffre d’affaires de 52 millions DH (hors Offshore) contre 27 millions DH il y a dix ans, soit une croissance de 7,2% par rapport à 2008. En dépit de la crise et de son impact sur l'ensemble du secteur informatique, GFI Maroc a réussi à poursuivre sa croissance organique. Le Groupe avait toutefois fait preuve d’une bonne résistance sur ses marchés stratégiques. Le recul du chiffre d’affaires avait été de -2,7% (-6,7% en organique) tandis que le résultat opérationnel courant ajusté s’élevait à 5% du chiffre d’affaires.