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Une impasse dont le président sortant porte la responsabilité selon les professionnels du secteur durement fragilisé par la crise économique qui frappe les marchés émetteurs traditionnels.
Lors d’une récente réunion tenue le 7 novembre courant au siège du CRT, des voix se sont une nouvelle fois élevées pour stigmatiser l’attitude d’un président qui, depuis la fin de son mandat électif le 14 décembre 2013, n’arrive pas ou se refuse à arrêter une date définitive de l’AGO conformément aux dispositions des statuts du CRT. Un président qui, d’après les présents à cette réunion, « navigue à vue », tout tourmenté qu’il est, par ses prises de position changeante et ses querelles à répétition avec les corps élus de la place et les institutions de tutelle.
Et dire que des contacts pris préalablement entre professionnels avaient laissé entrevoir une porte de sortie menant à l’AGO.
Pour l’heure, tout le monde vit dans l’attente d’une intervention urgente en vue de remettre les choses à leur place. Autrement dit, mettre un terme à l’anarchie que vit le CRT afin que le secteur accompagne les orientations Royales qui entendent faire de la capitale spirituelle une destination à même de rivaliser avec les meilleures destinations dans le monde.
Une intervention des autorités locales en vue d’amener le bureau sortant à respecter et appliquer le règlement et partant la convocation d’une assemblée générale dans les plus brefs délais.
Il est à rappeler qu’il n’y a pas longtemps, l’équipe pilotée par l’expert Driss Faceh, a organisé l’inoubliable Semaine culturelle de Fès à Aix-les-Bains (novembre 2005), et participé au Festival des arts culinaires, au Festival «Jazz in riads» et autres semaines culturelles organisées dans de nombreuses capitales africaines.
Deux mandats(2002/2010) avaient mis le tourisme à Fès sur de bons rails, réalisant une croissance incroyable notamment grâce à l’amélioration de l’aérien et de la promotion à grande échelle du « produit Fès ».