-
Un quart de la faune d'eau douce menacé de disparition
-
Au Bénin, les femmes, "piliers incontournables" des célébrations des Vodun Days
-
En Tunisie, une barge-hôpital pour remettre en forme des espèces de tortues protégées
-
"Une autoroute pour cyclistes": Sur la Costa Blanca, dans la fourmilière du peloton pro
-
Un mégaprojet d'hydrogène vert menace l'observation du ciel dans le désert d'Atacama
Des causes biologiques ont été invoquées. Le fait que les femmes ont plus volontiers recours aux soins de santé que les hommes a été aussi avancé. L'équipe conduite par Gerry McCartney (Social and Public Health Sciences Unit, Glasgow, Royaume-Uni) a utilisé les données de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur les taux de décès chez les hommes et les femmes, toutes causes confondues, et ceux attribuables au tabac et à l'alcool, dans 30 pays européens, pour l'année la plus proche de 2005.
Les décès liés au tabac incluent les cancers des voies respiratoires, les infarctus et attaques cérébrales et la bronchite chronique obstructive (BPCO). Ceux liés à l'alcool comprennent les cancers de la gorge et de l'oesophage, les maladies chroniques du foie, aussi bien que la psychose alcoolique et les actes de violence.
L'excès de décès masculins varie considérablement selon les pays étudiés. La plupart des pays présentant un tel décalage hommes-femmes très important se trouvent en Europe de l'Est. La Belgique, l'Espagne, la France, la Finlande et le Portugal ont aussi un décalage assez important.