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Dans un communiqué, le gouvernement de Dubaï s'est dit "entièrement disposé à accueillir le siège de l'ONU dans le cas où les responsables de l'organisation décident de quitter New York".
Il s'est dit prêt à engager un dialogue avec ces responsables pour leur démontrer les "avantages de Dubaï", parlant d'une situation géographique au carrefour des différents continents, un réseau de transport reliant l'émirat aux quatre coins du monde et une infrastructure moderne.
Au cours des dernières années, Dubaï a consacré des sommes considérables à la construction d'infrastructures modernes, notamment un métro et de nombreuses autoroutes. Mais l'émirat a été sévèrement touché par la crise financière mondiale, surtout le secteur clé de l'immobilier.
Dubaï a été sauvé in extremis le 14 décembre par Abou Dhabi. L'émirat le plus riche de la fédération et capitale des Emirats arabes unis lui a apporté une aide de 10 milliards de dollars grâce à laquelle le conglomérat public Dubai World a pu honorer en décembre une dette de 4,1 milliards de dollars de son géant immobilier Nakheel.
Dubaï fait face à une dette publique de plus de 100 milliards de dollars, selon les estimations.