Bahia Mohtassine championne chez les dames et Rabie Chaki chez les hommes.
Avec le National organisé en ce début d’année, c’est la belle ambiance du tennis que les passionnés ont retrouvée avec une bonne dose de plaisir,surtout que c’est à l’USM/TCC que les débats ont eu lieu. Les nostalgiques du bon vieux temps ne pouvaient rêver mieux, avec un club déterminé sous l’impulsion de l’éternel jeune premier Mohamed Mjid et un comité savamment constitué déterminé à faire retrouver à l’USM la place qui était sienne.
L’ambition d’un côté et la confirmation de l’autre. Les jeunes et les moins jeunes ne devaient pas manquer de motivation. Un hiatus, cependant, au tout début, dû à la fronde organisée par les participants au tableau messieurs qui, par ces temps où l’argent ne semble plus être un problème, au vu, du moins, de la constistance d’un certain salaire alloué avec une prodigalité trop exceptionnelle par la nouvelle fédération, n’ont pas apprécié les petits 15000 dh promis au vainqueur du National. Après moult palabres, ils ont fini par fouler les courts gratifiant tout de même le public de quelques beaux duels. A l’instar d’un Mehdi Ziadi en super-forme, jusqu’en finale du moins. Là, il s’est fait moins percutant et c’est le tenant du titre Rabie Chaki qui s’est alors saisi de l’aubaine pour garder son trophée en gagnant en deux sets (7/5, 6/2).
Les deux finalistes s’étaient livrés à un autre duel en double. Chaki avait Idembarek pour coéquipier et Ziadi s’était associé avec Saber. Là c’étaient ces derniers qui l’ont emporté en trois sets.
Côté filles, les choses étaient en quelque sorte, inversées. On attendait la confirmation de la part de l’étoile montante Lina Bennani alors que l’ambition devait être plutôt du côté de la revenante Bahia Mouhtassine qui avait consacré plus de trois ans à son petit joyau, Abla, qui commence déjà à trotter autour des courts.
L’une et l’autre auront été impériales depuis le début du National. Et c’est en tout logique qu’elles se sont retrouvées en finale. Le premier set a largement tourné à l’avantage de la jeune Lina qui a fait apprécier un tennis de qualité.
Après avoir subi cette première manche en 3/6, Bahia a complètement changé de stratégie et, son expérience aidant, a réussi à entraîner Lina dans son jeu. Celle-ci s’est laissée prendre au piège tendu par son aînée pour perdre les deux autres sets en 3/6, 2/6. Péché de jeunesse, dirions-nous.
« Ce n’est que partie remise », promet une Lina qui a gagné en maturité et qui se distingue désormais par un flegme british. Il est sûr que la leçon de Bahia ne sera pas sans effet.
La vainqueur et la finaliste, s’étaient associées en double pour remporter allégrement le trophée au détriment des pouliches de l’ACSA, Intissar Rassif et Chaïmae Roudani (6/2 – 6/0).
Cherche capitaine désespérément
La question qui s’impose en marge de ce National : A deux mois la Coupe Davis, on n’a pas vu l’ombre d’un capitaine. Ni l’ancien, dont on ne sait pas s’il rempile ou pas, ni quelque nouveau parmi les très hypothétiques noms que l’on a bien voulu lancer.
Avec le National organisé en ce début d’année, c’est la belle ambiance du tennis que les passionnés ont retrouvée avec une bonne dose de plaisir,surtout que c’est à l’USM/TCC que les débats ont eu lieu. Les nostalgiques du bon vieux temps ne pouvaient rêver mieux, avec un club déterminé sous l’impulsion de l’éternel jeune premier Mohamed Mjid et un comité savamment constitué déterminé à faire retrouver à l’USM la place qui était sienne.
L’ambition d’un côté et la confirmation de l’autre. Les jeunes et les moins jeunes ne devaient pas manquer de motivation. Un hiatus, cependant, au tout début, dû à la fronde organisée par les participants au tableau messieurs qui, par ces temps où l’argent ne semble plus être un problème, au vu, du moins, de la constistance d’un certain salaire alloué avec une prodigalité trop exceptionnelle par la nouvelle fédération, n’ont pas apprécié les petits 15000 dh promis au vainqueur du National. Après moult palabres, ils ont fini par fouler les courts gratifiant tout de même le public de quelques beaux duels. A l’instar d’un Mehdi Ziadi en super-forme, jusqu’en finale du moins. Là, il s’est fait moins percutant et c’est le tenant du titre Rabie Chaki qui s’est alors saisi de l’aubaine pour garder son trophée en gagnant en deux sets (7/5, 6/2).
Les deux finalistes s’étaient livrés à un autre duel en double. Chaki avait Idembarek pour coéquipier et Ziadi s’était associé avec Saber. Là c’étaient ces derniers qui l’ont emporté en trois sets.
Côté filles, les choses étaient en quelque sorte, inversées. On attendait la confirmation de la part de l’étoile montante Lina Bennani alors que l’ambition devait être plutôt du côté de la revenante Bahia Mouhtassine qui avait consacré plus de trois ans à son petit joyau, Abla, qui commence déjà à trotter autour des courts.
L’une et l’autre auront été impériales depuis le début du National. Et c’est en tout logique qu’elles se sont retrouvées en finale. Le premier set a largement tourné à l’avantage de la jeune Lina qui a fait apprécier un tennis de qualité.
Après avoir subi cette première manche en 3/6, Bahia a complètement changé de stratégie et, son expérience aidant, a réussi à entraîner Lina dans son jeu. Celle-ci s’est laissée prendre au piège tendu par son aînée pour perdre les deux autres sets en 3/6, 2/6. Péché de jeunesse, dirions-nous.
« Ce n’est que partie remise », promet une Lina qui a gagné en maturité et qui se distingue désormais par un flegme british. Il est sûr que la leçon de Bahia ne sera pas sans effet.
La vainqueur et la finaliste, s’étaient associées en double pour remporter allégrement le trophée au détriment des pouliches de l’ACSA, Intissar Rassif et Chaïmae Roudani (6/2 – 6/0).
Cherche capitaine désespérément
La question qui s’impose en marge de ce National : A deux mois la Coupe Davis, on n’a pas vu l’ombre d’un capitaine. Ni l’ancien, dont on ne sait pas s’il rempile ou pas, ni quelque nouveau parmi les très hypothétiques noms que l’on a bien voulu lancer.
Tirage au sort de la CAN Maroc-2025
