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"Le Barça ne fait pas de politique. Le Barça réaffirme les racines du club (...) Nous ne prenons pas parti (...) Faire de la politique, cela aurait été par exemple de faire une mosaïque aux couleurs de l'"estelada"" (le drapeau en faveur de l'indépendance de la Catalogne), a estimé Rosell dans les colonnes d'El Periodico.
Le clasico contre le Real Madrid au Camp-Nou (2-2) avait en effet viré à la démonstration de force d'une partie des supporteurs revendiquant l'indépendance de la Catalogne.
Une immense mosaïque aux couleurs de la senyera, le drapeau catalan, avait été déployée avec le feu vert du Barça dans le stade et à plusieurs reprises, des chants réclamant une Catalogne indépendante avaient retenti dans le stade. Ce regain de revendications indépendantistes est à inscrire dans un contexte général de tension entre la région dirigée par Artur Mas (centre-droit) et le gouvernement central.
Dans l'interview à El Pediodico, Rosell a pourtant démenti que le club ait servi de chambre d'écho aux revendications indépendantistes.
"Tant que nous dirigerons le club, on utilisera pas le Barça pour faire de la politique. Mais en même temps, le Barça sera toujours aux côtés du peuple catalan. Si le peuple catalan vote pour l'indépendance, nous serons avec lui et s'il décide que non, pareil", a déclaré Rosell.
Enfin, le président du Barça a aussi indiqué que le club comptait prolonger le contrat de Messi avant la fin du mandat de l'actuelle direction, qui coïncide avec la fin de contrat du joueur, en 2016.