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Conçu par l’artiste plasticienne libanaise Jenan Khalil, le prix entend consacrer des traditions culturelles et humaines, déjà prônées par le poète Said Aql, depuis les années 70. L’objectif étant de célébrer la poésie et les poètes dans le monde arabe, ainsi que l’impression de leurs œuvres au Liban, peut-on lire dans les brochures de cette distinction.
Le jury de cette édition, qui comprend des poètes et critiques connus dans le monde arabe, a décidé d’accorder le prix de cette année au jeune poète marocain, pour la qualité de son recueil, son unité thématique, à savoir « l’œil » et sa vision poétique qui voyage à travers différents espaces, mais aussi grâce aux procédés rhétoriques.
Natif de la ville de Ksar Lakbir en 1984, Mohamed El Annaz a déjà remporté d’autres prix poétiques, dont celui de Dubaï de la culture, le prix de l’Union des écrivains du Maroc pour les jeunes écrivains, le prix international de Tanger de la poésie, le prix de la deuxième chaîne de télévision 2M pour la création littéraire…
Auteur de plusieurs recueils tels que «Khoutout Al farachat», «Glace de l’âge adulte» et «Dunes d’eau», il a également publié un ouvrage de critique intitulé : «Conception de l’image chez Al Jahed».
M. E